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“Vous n’avez pas le droit d’invoquer les luttes de mon peuple pour vos vils projets, ni de jouer les victimes en notre nom.”

• Si vous cherchez à promulguer l’héritage des premiers colons islamiques qui ont violé et pillé le Moyen orient, réduit en esclavage les indigènes de la région, et les ont contraints à une vie de persécution et d’humiliation — ne vous réclamez pas du titre de « défenseurs de la liberté.”

• Si vous soutenez la doctrine raciste des suprémacistes arabes, et souhaitez (comme corollaire de cette doctrine) détruire l’Etat juif — n’essayez pas de nous faire croire que la propagande que vous tentez de nous fourguer est une légitime « résistance ».

• Si vos héros sont les imams de Gaza qui préparent le génocide d’un peuple, qui placent leurs enfants sur les toits dans l’espoir qu’ils seront déchiquetés en mille morceaux, qui se réunissent pour faire la fête quand leurs petits copains terroristes réussissent à assassiner les écoliers d’une école juive ou à bombarder les lieux de réunion de civils juifs — ne prétendez pas que vous êtes le dieu Apollon de la vertu humaine. Vous ne l’êtes pas.

• Si vos activités consistent à déplorer que les roquettes du Hamas n’aient pas atteint leur but, que des millions de Juifs sont toujours en vie et que leurs enfants n’ont pas été  atteints par leurs roquettes ; que leurs corps n’ont pas été déchirés par elles ; et que leur éviscération ne s’est pas concrétisée — ne venez pas prétendre que vous vous dressez en faveur de la justice. Vous affirmez être irréprochables. Je dis catégoriquement que non.

• Si votre idée d’une cause juste implique de viser et d’intimider les étudiants juifs du campus, de vous approprier l’histoire de leur exil et de leur retour pour le redessiner selon votre propre fantaisie — ne venez pas nous raconter que vous faites cela au nom des libertés civiques et de la liberté d’expression.

• Vous ne pouvez pas soutenir des régimes qui assassinent, torturent et persécutent leur propre peuple, les maintient intentionnellement dans l’extrême pauvreté, et empochent des centaines de millions de dollars d’aide — et affirmer que vous êtes “pro-arabes”. Vous ne l’êtes pas.

• Vous ne pouvez pas vous faire les défenseurs d’un système où les Juifs ont l’interdiction d’acheter des terres, ont l’interdiction de voyager dans certaines régions, et ne peuvent pas vivre une vie normale simplement parce qu’ils sont juifs — et prétendre que vous promouvez l’égalité pour tous.

• Vous ne pouvez pas autoriser ce système en incitant au boycott des entreprises, des commerces, des organisations appartenant à des juifs — et ensuite venir nous dire que vous êtes “contre l’apartheid.” C’est démoniaque.

• Vous ne pouvez pas justifier le bombardement délibéré et calculé, le lynchage, l’agression, de femmes, d’enfants et d’adultes juifs, et déclarer que ces activités représentent la « noble cause » des oppressés — c’est du racisme. C’est diabolique.

• Et ne nous faites pas croire que si vous aviez vécu dans les années 60, vous auriez été les amis de Rosa Parks et qu’elle vous aurait apprécié. Rosa Parks était une vraie combattante pour la paix. Rosa Parks était sioniste.

Coretta Scott King était sioniste.

A. Phillip Randolph était sioniste.

Bayard Rustin était sioniste.

Count Basie était sioniste.

Dr. Martin Luther King Sr. était sioniste.

Vous voyez, You see, mon peuple a toujours été sioniste parce que mon peuple s’est toujours levé pour défendre la liberté des opprimés.

Ne cherchez pas à vous approprier culturellement l’histoire de mon peuple.

Vous n’avez pas le droit d’invoquer les luttes de mon peuple pour vos vils projets, ni de jouer les victimes en notre nom.

Vous n’avez pas le droit de calomnier mon peuple et d’associer votre cause à celle du Dr. Martin Luther King. Nos deux causes sont diamétralement opposées.

Votre cause est l’antithèse de la liberté. Elle a provoqué des centaines de milliers de morts, juifs et arabes. Elle a séparé ces peuples, et a exacerbé l’animosité entre eux. Elle a brisé des cœurs, provoqué des tourments, la mort et la destruction.

Chloé Valdary.