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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 20:17

Le discours de cette gourgandine  a toujours été ambivalent...

Maintenant, nous le savons et elle l'écrit, son ennemi est le Juif et non les adeptes d'un Ramadan qui lui sert de faire-valoir !

En definitive, c'est un étron saphique !



Article repris du site Riposte Laïque.


Une intellectuelle engagée au service d’Eurabia

Certains lecteurs se sont étonnés du dernier article de Caroline Fourest dans Le Monde, intitulé "Israël contre Obama", dans lequel la chroniqueuse du quotidien du soir attaque l’Etat hébreu avec une virulence inédite sous sa plume, employant des expressions telles que "fanatisme" ou "violence disproportionnée", que n’aurait pas reniées Tariq Ramadan lui-même... Pour comprendre cette évolution, il faut lire l’analyse éclairante que vient de publier Radu Stoenescu dans Riposte Laïque. Analysant la récente joute télévisée entre Fourest et Ramadan, Stoenescu remarque que la militante des droits des homosexuels s’est montrée dogmatique et peu convaincante face au prédicateur islamiste, concentrant toutes ses attaques sur le thème réducteur des opinions de Ramadan sur l’homosexualité, au lieu d’exposer publiquement son projet politique.

La malhonnêteté intellectuelle de Caroline Fourest

L’explication profonde de cette attitude, révèle Stoenescu, tient au fait que Mme Fourest travaille depuis plusieurs mois pour une institution européenne très marquée politiquement, la Fondation Anna Lindh. Avant de montrer les implications de ce fait capital, je voudrais faire une parenthèse personnelle. J’avais moi-même constaté depuis longtemps l’insuffisance du raisonnement de Caroline Fourest concernant l’islam politique, et la malhonnêteté de son attitude intellectuelle. En effet, lorsque j’ai publié mon premier livre – Le Sabre et le Coran, portant sur le même sujet que celui de Fourest, à savoir la famille Ramadan – j’ai été étonné de constater que mon manuscrit, remis au printemps 2005, a "dormi" dans un tiroir chez mon éditeur jusqu’à la rentrée de septembre, alors qu’il portait sur un sujet d’actualité brûlante... La raison de cette mise au placard me fut donnée bien plus tard, lors d’une rencontre avec la chercheuse Fiametta Venner (auteure d’un livre documenté sur l’UOIF).

Celle-ci ayant été attaquée en diffamation par le CBSP (Comité de Bienfaisance et de Soutien aux Palestiniens), pour avoir révélé dans son livre les liens entre le CBSP et le Hamas, je lui proposai de nous rencontrer lors d’un de mes passages en France pour lui remettre des documents, réunis par les autorités israéliennes depuis plusieurs années, établissant de manière indiscutable le fait que le CBSP était l’organe de collecte du Hamas en France. Au détour de notre conversation, mon interlocutrice me révéla ingénument que Caroline Fourest avait voulu empêcher la parution de mon livre, en suggérant à son éditeur de m’attaquer pour plagiat ! Elle renonça finalement à son projet mais obtint (par des moyens que j’ignore) que mon éditeur retarde la parution de mon livre sur Ramadan, pour ne pas lui porter ombrage...

Si je révèle aujourd’hui cette anecdote personnelle, c’est parce qu’elle en dit long – me semble-t-il – sur les procédés intellectuels de Mme Fourest. Plus qu’un simple sujet de recherche, Tariq Ramadan lui a servi de tremplin pour entamer sa carrière. Et de fait, elle a réussi un "beau parcours"... La journaliste-militante est aujourd’hui chroniqueuse au Monde et à France Culture, enseignante à Sciences Po et membre de la Fondation Anna Lindh. Or, cette fondation n’est pas, comme on pourrait le croire, un simple organisme de recherche, mais un acteur politique, aux moyens financiers considérables et aux visées bien précises... Acteur central du "Partenariat euro-méditerranéen", la Fondation Anna Lindh est, en fait, comme l’a montré Bat Ye’or dans son livre, Eurabia *, le cheval de Troie de l’islamisation culturelle et politique de l’Europe.

Annihiler toute vélléité de résistance

De même que l’URSS recrutait autrefois des intellectuels prestigieux en Occident (comme Ernest Hemingway) pour défendre la politique de la "patrie du socialisme", l’Union européenne recrute aujourd’hui des intellectuels – par le biais de la Fondation Anna Lindh – pour défendre le projet politique euro-méditerranéen. Et si Mme Fourest pourfend aujourd’hui le "fanatisme" israélien et s’abstient de dénoncer le projet politique de Tariq Ramadan – préférant le contredire uniquement sur le sujet très réducteur de l’homosexualité – c’est parce qu’elle est devenue une intellectuelle au service du projet euro-méditerranéen. Ce projet n’est d’ailleurs pas du tout incompatible – loin s’en faut – avec celui de Ramadan : il est, en fait, le second versant de l’entreprise islamiste de conquête de l’Europe. Tandis que Ramadan et les autres prédicateurs de l’islam conquérant s’emploient à islamiser et à réislamiser les populations européennes, Caroline Fourest et ses collègues de la Fondation Anna Lindh s’emploient, de leur côté, à annihiler toute vélléité de résistance de la part de ces mêmes populations, en s’en prenant, par exemple, à Riposte Laïque, qui constitue le principal pôle de résistance citoyenne face à l’islamisation de la France.

Mme Fourest dévoile, au détour d’une phrase de sa tribune du Monde, son nouvel engagement politique eurabien, lorsqu’elle écrit que "les alliances changent de camp" [sic] et que "l’illusion d’un choc entre bloc musulman et bloc occidental a vécu..." Effectivement, les alliances "changent de camp" ! Caroline Fourest a depuis longtemps abandonné le camp du combat contre l’islam politique conquérant, pour rejoindre celui de "l’alliance des civilisations" et du "partenariat euro-méditerranéen". Ces deux expressions, caractéristiques de la novlangue technocratique eurabienne, désignent en fait l’alliance forgée entre l’Union européenne et les pays arabo-musulmans, au lendemain du choc pétrolier de 1973, contre Israël et contre les Etats-Unis [voir le livre Eurabia sur ce sujet]. L’intellectuelle militante des droits de l’homme, recrutée par la puissante Fondation Anna Lindh, est ainsi devenue une fonctionnaire d’Eurabia.


Paul Landau

* Bat Ye’or, Eurabia, l’axe euro-arabe, éd. Jean-Cyrille Godefroy 2006.


© Riposte Laïque



Laissons-la pour ce qu'elle est: une déviante malhonnête  sans aucun intérêt qui veut se faire de la pub !

Qu'est-ce qu'un Caroline Fourest ?

Rien...moins que rien !

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