Un criminologue a enquêté aux Balkans et prétend y avoir constaté que la violence y est moins répandue qu’en Suisse. Sur cette base, il estime donc que la violence accrue de ces jeunes gens en Suisse, qu’il ne nie pas (au contraire, il la dit «tout à fait étayée»), n’est pas importée depuis leur société d’origine, qui la cultiverait, mais résulte d’un simple problème d’occupation des loisirs:
Les Suisses encouragent leurs enfants tout naturellement à faire du sport ou de la musique, ils leur font pratiquer toutes sortes de passe-temps durant les loisirs. Les parents de jeunes étrangers ne sont pas du tout préparés à cela. Leurs enfants passent de plus en plus de temps devant la télévision ou l’ordinateur ou errent dans les rues. C’est ainsi que les problèmes commencent.
J’aimerais suggérer une autre hypothèse: la culture d’une grande partie de ces jeunes gens, les Musulmans, les incitent à haïr les Occidentaux, ou les Chrétiens. Chez eux, ils vivent dans des sociétés cloisonnées et n’ont que rarement l’occasion de rencontrer leurs ennemis désignés en position de force, car ceux-ci sont beaucoup plus avertis que nous autres. Ici, ces jeunes vivent au beau milieu de leurs ennemis, qui ne se doutent (presque) de rien, et dès qu’ils sont en position de force, notamment en bandes, ils deviennent tout naturellement des prédateurs, comme le leur ordonnent les convictions fournies par leur religion et de plus en plus exploitées par les différents vecteurs de leur culture.
Et si nous ne reconnaissons pas ce phénomène pour ce qu’il est, à savoir la conséquence de la haine fabriquée par la pratique et le respect de la religion islamique, et que nous ne le guérissons pas à la racine, il va se créer chez nous aussi, avec le temps, les mêmes cloisonnements communautaires et les mêmes troubles constants, auxquels les mêmes experts aveugles et sourds aux choses de la foi continueront de chercher des causes sociopolitiques ou éducatives, motivant bientôt un contrôle étatique plus strict des individus, ce qui générera des aigreurs entre les populations et leurs gouvernants, une instabilité politique croissante, une démocratie en déclin et une économie toujours plus bridée et de moins en moins efficace. Une balkanisation.