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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 11:28


Ils ont dit sur l’islam

Arafat Yasser (1929-2004 Homme politique palestinien d’origine égyptienne)

• Je viens à vous avec un rameau d’olivier dans la main gauche, et une mitraillette dans la droite. - Ne faites pas tomber le rameau d’olivier.

Bashir Abu Bakr (1938 - leader spirituel de la communauté islamique, Al-Gama’a Al-Islamiyya indonésienne)

• La démocratie est contraire à l’, car elle priorise la souveraineté du peuple, alors que l’ priorise la volonté de Dieu.

Bencheikh Soheib (1961 - Saoudien de naissance, grand mufti de Marseille)

• La “charia” est un mot mystique, c’est la voie qui mène à Dieu.

Boumediène Houari (1932-1978 Ancien président algérien)

• Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ». (Discours à l’ONU, 1974)

Husseini Faisal (1940-2001 Homme politique palestinien)

• Nous les avons trompés et nous les avons piégés, car notre but ultime est de libérer toute la Palestine historique, du Jourdain à la mer. (Après les accord d’Oslo)

Ibn Khaldoun (1332-1406 Historien, philosophe et homme politique d’Ifriqiya)

• Les Arabes ne peuvent faire de conquêtes que dans les plaines.
En effet, le naturel sauvage qui est en eux en fait des gens de pillage et de destruction.
Ils pillent tout ce dont ils peuvent s’emparer sans combat et sans qu’ils courent de danger, et ils s’enfuient dans leurs pâturages dans le désert. Ils ne sortent ni pour l’assaut, ni pour le combat à moins qu’ils ne soient obligés de se défendre. Tout sommet élevé, tout passage difficile, ils s’en détournent pour ce qui est le plus facile et ne l’affrontent pas. Les tribus inaccessibles pour eux dans leurs montagnes escarpées sont à l’abri de leurs destructions et de leurs déprédations, car les Arabes ne se risquent pas, pour les attaquer, à gravir les escarpements, à s’engager dans les voies difficiles et à affronter les dangers.
Quant aux plaines, lorsqu’ils peuvent s’en emparer par suite de l’absence de la garnison et de la faiblesse de la dynastie, elles deviennent leur butin et leur pâture. Ils font dans ces plaines des incursions, des pillages et des raids fréquents, parce qu’elles sont aisément accessibles, et cela dure jusqu’à ce que les habitants tombent sous leur domination. Ils se les passent des uns aux autres, entre les diverses tribus, et exercent le pouvoir de façon si défectueuse que la civilisation de ces habitants finit par disparaître.

Al-Khadafi Muammar (1942- Titre officiel : Guide de la grande révolution de la Grande Jamahiriya arabe libyenne populaire et socialiste)

• Notre socialisme, c’est l’.

Khomeini Rouhollah (1902-1989 Homme politique et dignitaire religieux iranien)

• L’homme peut avoir un plaisir sexuel avec un enfant, de sexe féminin aussi jeune qu’un bébé. Cependant, il ne doit pas pénétrer par devant, mais le sodomiser. Si l’homme pénètre l’hymen et cause des dégâts, alors il devra être responsable de la fillette toute sa vie. Cette-ci, cependant, ne compte pas comme une de ses quatre femmes permanentes. L’homme, par contre, ne peut pas épouser sa sœur.
• Il est préférable pour une fille d’être mariée à temps pour qu’elle entame sa première menstruation dans la maison de son mari plutôt que celle de son père. Un tel père qui donne en mariage une fille aussi jeune aura une place permanente au Paradis.
• L’homme peut avoir des rapports sexuels avec des animaux tels que les moutons, les vaches, les chameaux et ainsi de suite. Cependant il doit égorger l’animal après avoir eu son orgasme. Il ne doit pas vendre la viande aux gens de son village, cependant la vente de cette viande à un village proche est acceptable.
• Si on a commis un acte de sodomie avec une vache, une brebis, ou un chameau, leurs urines et leurs excréments deviennent impurs, et même leur lait ne peut plus être consommé. Cet animal doit être tué le plus vite possible et brûlé.

Extraits tirés du Petit livre vert, proverbes d’Ayatollah Khomeiny, (Politique, Phylosophica, Social et Religieux)

Abbas Mahmoud (aussi connu sous le nom d’Abou Mazen) (1935 - Homme politique palestinien)

• Oslo est la plus grande erreur qu’Israël ait jamais commis, en reconnaissant l’OLP, une organisation considérée comme terroriste, et en donnant aux Palestiniens une terre (la Cisjordanie et gaza) contre “rien du tout”.

Salam Abdus (1926 - 1996 Prix Nobel de Physique 1979)

• De toutes les grandes civilisations de la planète, la communauté islamique est celle qui a fait à la science la part la plus restreinte.

Al Zawahiri Ayman (1951 - Médecin égyptien, principal idéologue du réseau Al Qaeda)

• Il faut combattre la démocratie, qui est une religion… qui repose sur la déification du peuple. Or, en , la législation vient de Dieu. 

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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 11:05


Erdogan: L’expression “islam modéré” est laide et offensante.

"Il n’y a pas d’islam modéré. L'Islam est l'Islam"

Erdogan: L’expression “islam modéré” est laide et offensante. Il n’y a pas d’islam modéré.

Et voici qu’en deux phrases Erdogan, le premier ministre turc s’exprimant sur la chaine Kanal D TV, vient d’écarter  le concept sur lequel le monde occidental a placé ses espoirs de survie et de paix:

 ”L’expression ‘islam modéré’ est laide et offensante,  il n’y a pas d’islam modéré. L’Islam est l’Islam

Si c’est lui, un musulman que tous s’accordent pour le qualifier de “modéré” qui vous dit que l’ modéré est une chimère,  est-ce que cela sera davantage pris en compte par les analystes occidentaux ?

 Copyrigt Bivouac-ID

 

 

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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 19:46
LA MALHONNETETE INTELLECTUELLE EST-ELLE CONCILIABLE AVEC LA FOI AFFIRMEE OU S'AGIT-IL DE BASSE POLITIQUE?

L'EVIDENCE, C'EST QUE TOUS LES PAYS MUSULMANS DEVIENNENT  PROGRESSIVEMENT "CHRISTENFREI" !...


 

 

Privés d’eau, de terres et de moyens de subsistance, les Palestiniens de Bethléem étouffent derrière les murs qu’Israël persiste à ériger en toute illégalité. Tandis que sur les collines avoisinantes, de nouvelles colonies juives continuent de restreindre leur territoire. Les chrétiens en sont réduits à quitter la cité natale du Christ.


Bethléem n’est normalement qu’à 20 minutes de Jérusalem mais il faut franchir plusieurs points de contrôle pour y arriver. Des murs infranchissables enserrent insolemment les quartiers de la ville, au prix de destructions, brisant bien plus que la vue, la vie des personnes, des familles et de la société tout entière.

Au détour d’une ruelle, un bâtiment criblé par des tirs d’obus en dessous desquels est inscrit « Love ». Ironie ? En face, des plaques de béton hautes de 10 mètres, sur lesquelles des artistes étrangers ont dessiné des escaliers ou des pas s’évadant vers le sommet, comme pour faire rêver de liberté. Installés là depuis 1948, suite à l’expulsion de leurs villages, les réfugiés du camp voisin, privés de tout horizon, ne s’y trompent pas. Ils préfèrent d’ailleurs ne pas voir camoufler aux yeux du monde extérieur l’horreur placée sous leur nez.

Au centre-ville, la basilique de la Nativité est déserte, tout comme les magasins, restaurants ou hôtels, destinés aux pèlerins. Peu attirant de pénétrer dans un ghetto ! Du reste la visite des lieux saints effectuée, les tour-opérateurs israéliens incitent les clients à loger dans les colonies ou les terres israéliennes.

"Si cela continue, la chrétienté pourrait disparaître du berceau où elle est née. Non pas pour des questions religieuses - hormis quelques cas isolés -, puisque nous avons vécu pendant des siècles en bonne entente avec les musulmans. Bethléem avait survécu parce qu’elle était restée ouverte au monde, accueillant des pèlerins pendant des siècles. Les  pèlerins doivent revenir ici, ils seront en toute sécurité",

insiste Leila Sansour, une  chrétienne d’origine palestinienne, rentrée au pays pour fonder l’association "Open Bethléem" (1) et faire découvrir aux délégations internationales la réalité du terrain. Ceux qui feront halte côté palestinien seront d’ailleurs agréablement surpris par la vieille tradition de l’hospitalité, chère aux Arabes.

Le mur commencé en 2004 sépare déjà Bethléem de Jérusalem, la ville sœur, et des villages voisins. Le 9 juillet 2004, l’instance judiciaire des Nations Unies a déclaré la construction illégale et appelé Israël à l’arrêter immédiatement. Mais aujourd’hui encore, les bulldozers continuent impunément de dévaster et d’ériger des barrières de béton à travers les champs d’oliviers palestiniens. Les paysans se voient dépossédés ou privés de l’accès à leurs terres. Sur une colline avoisinante, les salésiens, propriétaires du domaine agricole et viticole de Crémisan, source d’emplois et de revenus pour la population locale, vont voir incessamment une partie de leur propriété passer de l’autre côté du mur et annexée de facto par les autorités israéliennes. Sans autre concertation et en violation de l’avis rendu par la Cour Internationale de Justice, soulignent les religieux.

"Les habitants n’ont plus qu’un seul désir : émigrer pour échapper à une mort lente",

commente le maire palestinien de la ville encerclée. Sans armée, sans emploi ni avenir, les jeunes n’ont que des pierres pour crier leur désespoir. David contre Goliath...

 

Des religieux écoeurés

 

"Avec le mur, qui peut franchir – à temps -, les check-points [points de contrôle] pour venir à l’hôpital, assister aux enterrements ou aux mariages ou tout simplement vendre sa récolte ? Aux points de passage, des femmes enceintes ont dû accoucher, des enfants comme des adultes, dont l’état de santé nécessitait des soins urgents sont morts parce que les militaires israéliens les ont délibérément fait attendre. Les punitions collectives, l’homme humilié, enfermé, c’en est trop !",

s’exclame, de guerre lasse, une religieuse âgée.

"En été, sous la canicule, nous sommes privés d’eau car elle est pompée ici pour alimenter les collines de l’occupant. Nous devons nous contenter de nos citernes sur les toits. Nous sommes des sans-papiers : il faut sans cesse renouveler les documents."

Découragée de voir l’une de leurs sœurs refoulée à un point de contrôle après 30 ans de résidence sur le territoire et embarquée manu militari, la nuit tombée, dans un bus vers un pays voisin,  la religieuse a écrit le 6 mars dernier au délégué apostolique de Jérusalem :

"Israël, avec sa toute puissance d’aujourd’hui, mais également avec sa population au passé tragique, perdrait-il toutes ses valeurs relatives au respect et à la dignité de l’homme ? Si cet Etat ne souhaite plus la présence de religieuses chrétiennes en Terre Sainte, qu’il le fasse publiquement et correctement savoir, mais qu’il cesse immédiatement ces traitements humiliants et non conformes aux droits de la personne."

 

(1)     www.openbethlehem.org – Courriel : openbethlehem@openbethlehem.org

 

 

Béatrice Petit

© Dimanche Express 

 

 
Réaction d'une religieuse belge (reçue le 17/04/08)
Merci pour cette vigoureuse dénonciation. Je voudrais ajouter :
- "commente le maire palestinien de la ville encerclée" [texte impeccable mais on aurait pu mettre en rouge la ville encerclée. Il est vrai qu'il y a déjà assez de rouge, bien justifié.
- à travers les champs d’oliviers palestiniens [Il n'est pas innocent de choisir les champs d'oliviers palestiniens : 'comme si on tuait la paix, et paix offerte par les Palestiniens.
- les salésiens... vont voir incessamment une partie de leur propriété passer de l’autre côté du mur [comme par un tour de passe-passe]. (je ne maîtrise plus les couleurs: ce devrait en noir!)
- et on termine adéquatement sur l'adjuration à Israël... qu’il cesse immédiatement... adressée par une religieuse responsable au délégué apostolique de Jérusalem.
Tout l'article est habile.
Je remarque, dans le bandeau de l'hebdomadaire, la reproduction, comme en médaillon, des lettres grecques chi-rhô, la paix du Christ.  
 
Que cet hebdomadaire existe, généreusement distribué par l'Eglise locale, est une opportunité soit d'enseignement soit d'endoctrinement. Il faut choisir.

 

M. Macina le 16 avril 2008.


IL FAUT RASSURER CETTE HONNÊTE RELIGIEUSE BELGE...C'EST BIEN L'ENDOCTRINEMENT DE TYPE ISLAMISTE QUI A ETE CHOISI PAR SES COMPATRIOTES !

VIEIL ANTISEMITISME CHRETIEN...PAS VRAIMENT MORT !

"PROGANDA STAFFEL" DU HAMAS ?...  

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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 13:20

ALLONS Z'ENFANTS ?...


David Bescond

17 avril 2008.

Dans mon article "Les statistiques sataniques ", http://www.rebelles.info, j'ai utilisé l'expression "substitution de population" pour évoquer l'immigration massive que subissait la France et notamment la part importante des immigrés dans la natalité française.

Aussitôt un commissaire politique sous le pseudo de Ludo est intervenu pour fustiger cette expression qui, selon lui, est du domaine du discours politique d'extrême droite. Je tiens à vous diffuser la vidéo suivante (se reporter au site rebelles.info).

Elle montre un débat entre Jean-Christophe Ruffin, devenu depuis ambassadeur de France au Sénégal et Eric Zemmour sur le plateau de l'émission de Laurent Ruquier.

Je vous propose de visionner notamment la bande après 4 minutes et 50 secondes. C'est un petit bijoux. Alors qu'Eric Zemmour déclare "Boumediene le président algérien avait dit qu'il prendrait sa revanche sur la France avec les berceaux", Jean-Cristophe Ruffin réplique du tac au tac "ça c'est en train de se...". Oups le dérapage fut évité de justesse et le "passer" n'est pas passé. Admirez la façon dont Jean-Christophe Ruffin arrive à se ratraper. Du grand art. Tout cela pour dire que l'idée de la substitution de population est dans tous les esprits car, jusqu'à preuve du contraire, Jean-Christophe Ruffin n'est absolument pas lié à l'extrême droite. Mais le terrorisme intellectuel empêche tout débat sur ce sujet grâce aux petits commissaires politiques... comme le sieur Ludo.




Substitution de population ? En tout cas ce que les médias se garderont bien de vous montrer c'est que le cortège de tête des 15.000 lycéens qui manifestaient hier était entièrement composé de blacks et de beurs brandissant des drapeaux frappés du croissant islamique (drapeaux algériens, marocains, tunisiens...). Non cela vous ne le lirez et ne le verrez pas dans vos journaux préférés car les commissaires politiques veillent également dans les salles de rédaction. Car pour ces personnes si la réalité n'existe pas, il existe en revanche des photos citoyennes et des photos... d'extrême droite.

David Bescond pour Rebelles.info


LA FRANCE DE DEMAIN ?...
 
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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 11:38

DU "OSS 117"...EN VRAI !



Vendredi 18 avril 2008

  

 

"Je sais ce qui est arrivé ce jour-là, et quand le monde l'apprendra, il sera stupéfait". Ainsi s'exprime Uzi Arad, un ancien espion du Mossad, à propos de l'opération du 6 septembre 2007. Reprenons la chronologie et analysons ce coup de force.

Flash-back : automne 2002. Les services secrets israéliens soupçonnent la Syrie d'être le point de chute de l'armement du régime irakien. Bien avant la chute de Bagdad, des katsas (agents) du Mossad s'étaient infiltrés clandestinement en Syrie et dans la vallée de la Bekaa au Liban, là où de multiples sources concordantes indiquaient que les services de Saddam Hussein transféraient l'armement lourd du régime, auparavant revendu aux Syriens par l'entremise des Russes. Les Américains savaient que Saddam Hussein avait reçu l'aide des Français et des Russes avant la guerre, respectivement par la voie diplomatique et la voie militaire. D'un côté, les Français informaient Bagdad des discussions secrètes tenues entre George Bush et Jacques Chirac, ce qui permettait aux Irakiens d'anticiper toute nouvelle manoeuvre des Américains à l'ONU. De l'autre, les Russes avaient dépêché plusieurs agents de haut rang, dont  le général Yevgeny Primakov, directement sur le terrain. Ancien proche de Eltsine et ex-directeur du KGB, Primakov avait pour mission d'aider les Irakiens à "nettoyer leurs sites".

Il ne s'agissait pas d'une opération particulièrement originale. Durant la Guerre Froide, l'URSS avait fourni du matériel militaire à des pays alliés, et cette pratique s'était poursuivie après la chute du mur de Berlin et la dissolution de l'empire soviétique. Dans l'organigramme russe, le FSB devait s'acquitter d'une opération spéciale, baptisée "Sarindar" ("sortie de secours", en russe). Plusieurs pays de l'ancien bloc de l'Est connaissaient cette règle tacite selon laquelle aucune arme de fabrication russe ne devait tomber entre les mains de l'ennemi. Or l'Irak est un très bon client. Dont acte.

En novembre 2002, une armée d'espions russes entre en Irak depuis l'ouest et s'établit dans la province d'Anbar, la plus étendue du pays. Plus tard, pendant l'offensive alliée, les agents du FSB se battront contre les forces spéciales australiennes et les commandos de la CIA au cours d'affrontements qui ne figureront dans aucun livre d'histoire. Mais revenons à la veille de 2003. Primakov atterrit à Bagdad. L'opération nettoyage commence immédiatement.

Le commandant Ion Mihai Pacepa, ancien directeur des services secrets roumains, avait briefé les Occidentaux sur les intentions russes. Les Américains savaient. Le Mossad également, ce qui permet à Ariel Sharon de prédire, dès décembre 2002, que le vrai potentiel militaire du régime de Saddam Hussein se trouve déjà entre les mains de Damas. A la veille de la guerre en Irak, les analystes de la NGA, stupéfaits, observent des colonnes de camions passer la frontière. Une avalanche de renseignements atterrit sur le bureau du Mossad et de la CIA. On y parle de
fosses de 6/8m de côté et de 25/35m de profondeur creusées par le génie syrien au Liban et en Syrie. Elles auraient reçu du matériel interdit irakien puis auraient été comblées et replantées, le tout sous supervision russe. La Syrie
aurait été payée 35 millions de dollars pour ses prestations.

A l'aube de la guerre, un dissident syrien du nom de Nizar Najoef écrit une lettre au journal néerlandais Der Telegraaf, dans laquelle il affirme connaître la localisation de ces sites secrets. Atteint d'un cancer en phase terminale, Najoef avoue qu'il n'a rien à perdre à divulguer ces informations. Le journal publie ses dires. Personne ne dément. Le LAP israélien, le service de désinformation du Mossad, s'arrange pour que l'affaire retombe comme un mauvais soufflé. Du moins, dans la presse.


Car pour les renseignements occidentaux, la présence d'armes irakiennes dans le pays voisin reste un sujet de profondes inquiétudes. Interrogé par le Sunday Times en 2004, le chef du groupe de recherche américain sur les Armes de Destructions Massives irakiennes, David Kay, souffle à demi-mot que "du matériel dangereux" du régime de Saddam Hussein a, en effet, passé la frontière. A l'été 2004, le chef de l'UNMOVIC, Demetrius Perricos, annonce au Conseil de Sécurité de l'ONU que des "éléments de missiles et de matériel dangereux ont été exportés de l'Irak vers l'étranger à une cadence de mille tonnes par mois". Pressé de questions par la presse, il botte en touche.  Le reste est classé top secret.  

Fraîchement élu au poste de directeur du Mossad, Meir Dagan réveille ses armées de sayanim (agents dormants) en Syrie. Ils ont tôt fait de déterminer la présence de sites noirs. En 2005 puis 2006, le programme ECHELON de la NSA commence à sillonner le nord de Damas, pendant que les Israéliens quadrillent la frontière avec l'Iran depuis leur satellite Ofek. A cette période, on craint que le matériel irakien finisse par enrichir le programme nucléaire iranien. Mais il n'en est rien, et les services de renseignement occidentaux le réalisent bientôt.

Début 2007, l'ONI, le renseignement de la marine américaine, annonce avoir repéré un navire suspect en route vers Lattaquié, le premier port de Syrie. Les Américains transmettent l'information au Mossad, lequel dispose d'une fourmilière d'informateurs dans le pays. Le chalutier suspect est très vite repéré. Naviguant sous pavillon sud-coréen, il a été déchargé de nuit dans le port de Lattaquié, et ne figure sur aucun registre. Intrigués, des katsas israéliens suivent les convois en partance de Lattaquié et annoncent l'existence d'un site de stockage secret dans la province de Dar el-Zour, au nord de Damas. Le Mossad suggère que des expérimentations avec du matériel radioactif y ont lieu, et que le navire au pavillon "sud-coréen" est en réalité venu de Corée du Nord. L'affaire est grave.

Mise au courant, l'administration Bush hésite. Les Israéliens, handicapés par un ministre de la Défense affable, Amir Peretz, refusent de se risquer dans un nouveau conflit régional. Tout l'été, le service de désinformation du Mossad, le LAP, laisse filtrer des rumeurs de guerre imminente avec la Syrie afin d'intimider l'adversaire. Damas répond en organisant des exercices de protection civile et en clamant être prêt à "couvrir  Tel-Aviv de roquettes". Finalement, la stratégie israélienne capote. Sur place, les informateurs du Mossad notent que le travail n'est pas perturbé à Dar el-Zour et observent un continuel va-et-vient de scientifiques nord-coréens. Il s'agit d'experts en missiles balistiques. Depuis la fabrication du No-Dong, les Nord Coréens sont devenus des exportateurs de renom dans tout ce qui se rapporte aux missiles à longue portée. 

Israël commence à s'inquiéter sérieusement, d'autant que l'on sait que la Syrie a été le premier soutien du Hezbollah durant la guerre du Liban, l'été précédent. Les Américains le sont tout autant, eux qui soupçonnent que le gaz sarin utilisé contre leurs troupes par la guérilla irakienne au printemps 2007 a été livré par une Syrie puisant dans ces "sites noirs". En effet, le 26 juillet 2007, le Mossad sabote un programme de missiles installé dans une base syrienne près d'Alep. Les katsas rapportent que les Scud-C détruits contenaient des ogives de gaz moutarde. Les questions affluent : si la Syrie utilise l'armement irakien pour créer son propre arsenal chimique, serait-il possible qu'elle envisage plus léthal encore ? L'inquiétude autour de Dar el-Zour grandit. Afin de coordonner leurs efforts, Israël et les Etats-Unis lancent une opération conjointe baptisée Orchard ("le verger"). Tous les ressources des deux pays sont engagées dans la collecte d'informations.

Les photos satellites laissent les analystes perplexes : le complexe secret n'a aucune cheminée, ce qui l'empêche de rejeter des gaz radioactifs en cas d'expérimentation comme c'est le cas au centre de Yongbyon, en Corée du Nord. Or le Mossad a des preuves que le site syrien a été construit en 2003, soit à l'aube de la guerre en Irak. Il ne s'agit donc pas d'une usine en construction. De plus, des espions israéliens confirment la présence de scientifiques irakiens évacué par le renseignement syrien avant la chute du régime baasiste. Des experts... de l'atome.

La logique devient effroyable : s'il n'y a pas de cheminée à Dar el-Zour, c'est qu'il n'y a pas d'expérimentation avec de la matière fissile. Et si le site noir accueille des scientifiques nord-coréens spécialisés dans les missiles balistiques, c'est que les Syriens comptent acquérir le savoir des No-Dong. Mais... mais si les katsas du Mossad ont vu juste en évoquant du matériel radioactif, cela signifie que Damas fait dans la fabrication de missiles à longue portée... avec des têtes nucléaires !

 

Amir Peretz est limogé en juin 2007. Son successeur se révèle être Ehud Barak. Le choix du premier ministre Olmert n’est pas anodin :  Barak a commandé l’unité la plus secrète de l’armée israélienne : les Sayeret Matkal. En 1973, c’est avec eux qu’il a lancé une action commando à Beyrouth durant laquelle plusieurs membres du groupe palestinien "Septembre Noir" ont été abattus. A peine Barak est-il nominé qu'il fait appel à son ancienne unité, et lui confie une mission : déterminer la nature du site de Dar el-Zour.

 

A Washington, l'administration Bush demande confirmation : le matériel incriminé est-il réellement radioactif ? Le commando de Tsahal est parachuté de nuit aux abords du site. Les experts des Sayeret Matkal, en uniforme de l’armée syrienne, s’infiltrent à l’intérieur du complexe et relèvent des échantillons. De retour à Tel Aviv, ils les transmettent aux laboratoires de l’armée. La nouvelle stupéfie tout le monde : oui, l’usine de Dar el-Zour possède du matériel nucléaire. Oui, on y travaille sur des missiles balistiques à longue portée. Oui, le spectre d’une bombe atomique à quelques encablures de Jérusalem n’est plus un fantasme. 

 

Décision est prise d'éliminer le danger. L'opération Orchard entre dans sa phase opérationnelle. Washington renseigne les Israéliens sur les défenses syriennes. Le 4 septembre, les Sayeret Matkal sont une nouvelle fois parachutés au-dessus de Dar el-Zour. Leur mission ? Marquer la future cible au laser. Le 6, l’unité de guerre électronique de Tsahal attaque le système de radar syrien, permettant à deux F-16 venus de la mer de survoler le territoire ennemi sans encombres. Utilisant leurs bombes bunker busters, les pilotes hébreux écrasent Dar el-Zour en quelques secondes, tuant plusieurs dizaines de Syriens.

 

Plus tard, les satellites espions américains intercepteront des communications de l’ambassade chinoise à Damas annonçant la découverte de cadavres de scientifiques nord-coréens dans les ruines du site. A Pyongyang, Damas, Washington et Jérusalem, on se tait. 


Un officiel israélien, visiblement soulagé, murmure au Sunday Times que la Syrie "préparait une très mauvaise surprise à Israël". Devant son cabinet, un  Ehud Barak aux anges préfère rester énigmatique : « nos succès ne sont pas rendus publics, mais cela ne veut pas dire que nous n’accomplissons rien. »  
 

En effet. Telle est l’histoire du 6 septembre. Personne ne sait encore que l’armée israélienne a réalisé, avec un succès insolent, l’opération du siècle.

Publié par drzz

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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 10:36


ILS PARTENT A LA CONQUÊTE DU MONDE ?...

MAIS NON, GROS BETA, CE SONT DES FRANCAIS QUI VONT AU TRAVAIL...


Les Français champions
du monde des vacances
Delphine Chayet
16/04/2008
.

Crédits photo : Stephane AUDRAS/REA

Avec 37 jours de congé par an, ils devancent leurs voisins européens et américains pour la huitième année consécutive.

Ils sont les mieux pourvus en jours de congé et ne sont pas prêts à y renoncer. Avec 37 jours de vacances par an en moyenne, les Français battent sans mal leurs voisins européens, selon une étude réalisée par l'institut Harris Interactive(*).

Sans grande surprise, les pays du Sud semblent eux aussi profiter de longues vacances. D'après l'institut de sondage, les Italiens cumulent ainsi 33 jours chômés sans compter les week-ends et les jours fériés. C'est trois jours de plus que les Espagnols. Les Allemands ont, eux, 27 jours de vacances, tandis que les Britanniques ne déclarent que 26 jours par an. Tout en bas du classement, les Américains n'ont que 14 jours pour se reposer.

«Il faut dire que la France a une grande originalité : les RTT. Ce ne sont pas des vacances proprement dites, mais des jours de repos utilisés pour faire les courses, les démarches administratives ou pour emmener les enfants au football, analyse Jean Viard, sociologue et auteur de l'ouvrage Le Sacre du temps libre et le Nouvel Âge du politique (Éd. de l'Aube). Dans les autres pays européens, ce sont les femmes qui se chargent de ces tâches, parce qu'elles travaillent beaucoup plus souvent à temps partiel.»

Les salariés français, qui détiennent ce record européen pour la huitième année consécutive n'ont nullement l'intention de renoncer au temps libre qui leur reste : selon l'institut, 80 % d'entre eux n'abandonneront aucune journée à leur entreprise. En comparaison, 47 % des Italiens et 49 % des Hollandais accepteront de passer une partie de leurs jours de congé au travail.

Peu de séjours à l'étranger

«Côté RTT, près d'un tiers des salariés refuse, par choix, d'échanger ce repos contre un supplément de salaire, mais 37 % en sont empêchés par leur employeur», remarque Timothée de Roux, directeur du marketing de l'agence de voyages en ligne Expedia. «À la différence des États-Unis, la culture européenne s'est bâtie sur les vacances et les loisirs, analyse le sociologue Jean Viard. Mais nombreux sont aussi les Français qui ne partent du tout en vacances.»

Et peu voyagent hors des frontières. Seuls 17 % de leurs séjours ont lieu à l'étranger, alors que ce taux monte à 64 % chez les Allemands et 79 % chez les Belges. «Les Français, qui sont assez casaniers, alimentent les recettes du tourisme dans l'Hexagone, confirme-t-on à la direction du tourisme. Le temps libre des salariés n'est pas du temps perdu, c'est aussi une source de revenu.»

(*) Étude réalisée en ligne pour Expedia auprès d'un échantillon de 5 321 personnes interrogées en mars 2008 en France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Autriche, Allemagne, Grande-Bretagne et aux États-Unis.

(**)Vitelloni veut dire "jean-foutres" ou "glandeurs" en italien

Copyrigt Le Figaro



  • «Les salariés paient les 35 heures en pouvoir d'achat» 
    Propos recueillis par D. Ch.
    16/04/2008
    .

    Robert Rochefort est directeur général du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc).

    LE FIGARO. Les Français sont, parmi les Européens, les salariés les mieux pourvus en jours de congé. Quelle est votre réaction ?

    Robert ROCHEFORT. Ce constat a toujours été vrai ; il l'est encore plus depuis l'instauration de la réduction du temps de travail (RTT). Je dirais que les salariés français le paient en pouvoir d'achat. D'ailleurs toute leur ambivalence est là : s'ils restent très attachés à leurs RTT, ils ne sont pas très contents de leurs feuilles de paie. Toutes nos enquêtes le disent : 80 % préféreraient aujourd'hui davantage d'argent que davantage de temps.(...)  

    . Copyrigt Le Figaro


    • Les DRH ont appris à jongler avec les absences et les RTT
      Alexandre Claude
      16/04/2008
      .

      La plupart préfèrent répondre aux demandes avec doigté.

      Les Français recordmen des vacances ! Un sujet que ne sont pas prêts d'épuiser les directeurs des ressources humaines. Les résultats de l'étude menée par Harris Interactive (lire ci-dessus) ne les ont guère surpris, mais ils préfèrent commenter, anonymement, cette spécificité nationale. «C'est vrai qu'il y a toujours des absents, commente le DRH d'un groupe international dans le secteur de l'industrie, mais la présence de tous les salariés en même temps n'est pas indispensable. Cependant, cela devient vraiment difficile pour les rotations des postes complexes ou techniques qui demandent des compétences particulières. Et je ne parle pas seulement des cadres.»

      Pour éviter de retrouver ateliers ou bureaux vides, beaucoup de managers font appel à la «conscience professionnelle» des employés. «Il faut qu'ils gardent en tête les impératifs du service», rappelle une DRH d'une grande marque étrangère implantée en France. «Qu'ils ne prennent pas leurs congés durant les périodes difficiles pour l'entreprise.» Pour éviter toute mésaventure, les dates choisies doivent cependant être approuvées par la direction. «Nous n'avons jamais refusé de demandes, c'est fait intelligemment», assure-t-elle.(...)

      Le véritable problème, c'est le temps de travail

      Pour la directrice du personnel d'un constructeur automobile, la méthode est plus directe. «Pour les mois d'été, nous exigeons de connaître les souhaits des salariés dès février.»

      À côté des traditionnelles vacances, les RTT bouleversent elles aussi la vie des entreprises, le lundi et le vendredi deviennent aux beaux jours une prolongation du week-end. Les réunions sont regroupées au milieu de la semaine. En réalité, insiste un DRH, «la question des congés se gère. Le véritable problème, c'est le temps de travail ! Comparés à d'autres, nous sommes nettement en dessous». Il ajoute : «C'est dit gentiment, mais c'est dit, les Français ne travaillent pas beaucoup.»

      Copyright Le Figaro


      Quelques petits chiffres pour la route ?

      Dans le privé: 22% des salariès ont un arrêt pour maladie au moins une fois par an

      Chez les "indépendants": le chiffre est de 8,6%

      Dans la Fonction publique d'Etat, le chiffre atteint le record de 43%


      RASSUREZ-VOUS...C'EST EN PLUS DE 32/35 HEURES ET DES RTT...

      RASSUREZ-VOUS ENCORE...C'EST A VOS FRAIS !

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16 avril 2008 3 16 /04 /avril /2008 15:57

48 universités britanniques aux mains des islamistes ?

48 universités britanniques aux mains des islamistes ?

Jusqu’à 48 universités en ont été infiltrées par des fondamentalistes financés par des groupes musulmans.

« Huit des universités de premier plan en Grande-Bretagne, y compris Oxford et Cambridge, ont accepté plus de 236 millions de Livres Sterling, approximativement 460 millions de dollars US [290 millions d’Euros], en donations de la part d’organisations musulmanes, « dont beaucoup sont connues pour avoir des attaches avec des groupes extrémistes, certaines ont des liens avec des organisations terroristes »

« Les Saoudiens achètent-ils les université de GB ? » World Net Daily

Londres - Selon le bulletin G2 de Joseph Farah : Jonathan Evans, le directeur général du MI5, a averti le gouvernement que des dons de centaines de millions de Livres Sterling venant d’ et de puissantes organisations musulmanes au Pakistan, en Indonésie et du Golfe ont conduit à une « augmentation dangereuse de la propagation de l’extrémisme sur les campus des universités »
« Huit des universités de premier plan en , y compris Oxford et Cambridge, ont accepté plus de 236 millions de Livres Sterling, approximativement 460 millions de dollars US [290 millions d’Euros], en donations de la part d’organisation musulmanes, « dont beaucoup sont connues pour avoir des attaches avec des groupes extrémistes, certaines ont des liens avec des organisations terroristes »

Le gros des dons est venu au cours des cinq dernières années, une période où les activités terroristes en ont augmenté. La Ministre de l’Intérieur, Jacqui Smith, a annoncé ce week-end que le MI5 enquêtait désormais sur les “42 menaces actuelles d’actes terroristes et que la possibilité d’attaques est de plus en plus réelle. »

Les universités qui ont accepté cet argent incluent également la London School of Économics, la City of London, ainsi que Exeter et Dundee. Toutes ont un nombre croissants d’étudiants musulmans.

Un don majeur a compris une donation de 20 millions de Livres Sterling de feu le roi Fahd d’ afin d’aider à établir le Centre d’Études Islamiques à Oxford et qui sera affilié à cette université quand il ouvrira l’année prochaine.

L’annonce du MI5 suit une longue enquête qui a révélé que 70 pour-cent des conférences politiques au Centre du Moyen Orient au Collège Saint Anthony a Oxford étaient « implacablement hostiles à Israël et à l’Occident ».

Les annonces du MI5 sont confirmées par le professeur Anthony Glees, directeur du Centre d’Étude du Renseignement et de la Sécurité de l’université de Brunel, un think tank qui a des liens étroits avec les services de renseignements.

Il a annoncé que « jusqu’à 48 universités en ont été infiltrées par des fondamentalistes financés par des groupes musulmans. La menace potentielle que cela représente pour la sécurité du pays est évidente».

Quoiqu’il en soit, le Premier Ministre Gordon Brown insiste qu’il est « stratégiquement important d’étudier l’islam». Il a alloué un million de Livres Sterling à la conduite de la contre radicalisation.

Il est certainement important d’étudier l’islam. Mais la provenance de l’information et l’agenda de la partie propageant cette information font une certaine différence.

 

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16 avril 2008 3 16 /04 /avril /2008 15:40

UN AVANTAGE: IL ANNONCE LA COULEUR...COMME "MEIN KAMPF" !

LES RÊVES ONT PARFOIS DES FINS TRAGIQUES...



Un député du Hamas appelle à la conquête de Rome

Exclusif Bivouac-ID : un député du Hamas appelle à la conquête de Rome, la vidéo en version française.

Paix, amour et tolérance au menu du sermon de Yunis Al-Astal, député palestinien membre du et érudit musulman.

Cet homme politique palestinien, en parfait disciple de Mahomet, appelle sans ambages à la télévision palestinienne ses coreligionnaires à rien de moins qu’à la conquête de l’Occident, par le prosélytisme ou par les armes. Il ne cache en rien ni l’objectif - la conquête - ni le moyen pour y parvenir - l’endoctrinement “aujourd’hui, nous instillons ces bonnes nouvelles dans leurs esprits“. Et effectivement, tout en Palestine, des manuels scolaires aux dessins animés à la télévision, concourt à endoctriner les enfants.

Si un homme politique occidental, un prêtre, un pasteur, ou un rabbin se risquait à penser et à dire le centième de ce Yunis Al-Astal, il se verrait voué aux gémonies. A juste titre d’ailleurs.

parlement palestinienOn attendra la condamnation et l’indignation de ses concitoyens. On attendra longtemps. On attendra en vain. Pourquoi ?

Parce que cet homme de « paix » ne représente pas une mouvance marginale au sein de la classe politique palestinienne. Il est un représentant de la majorité, le , mouvement nazislamiste terroriste élu par 56% des .

Extrait de l’article 7 de la charte du Hamas auquel cet homme politique appartient :
 

 

[…] le Mouvement de la Résistance Islamique aspire à la réalisation de la promesse d’Allah, quel que soit le temps que cela prendra. Le Prophète, qu’Allah le bénisse, a dit : « Le Jour du Jugement dernier ne viendra pas avant que les musulmans ne combattent les juifs, quand les juifs se cacheront derrière les rochers et les arbres. Les rochers et les arbres diront, O Musulmans, O Abdallah, il y a un juif derrière moi, viens le tuer. […]

Publié par Bivouac-ID
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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 17:05
CHERS COMPATRIOTES, UN PEU D'HUMOUR ET BEAUCOUP DE COURAGE CAR SI LE TRAIT EST PARFOIS EXCESSIF, IL EST SOUVENT JUSTE !


Mardi 15 avril 2008  par Ruby

Les français ont une mentalité détestable, et de ce fait font de la France un pays détestable.


Première raison : ils sont formatés à la pensée unique et avalent aveuglément la propagande gauchiste de nos médias, quand celle-ci n'est pas carrément marxiste. Et les français manipulés sont détestables, car dés qu'on leur dit que les infos en France manipulent l'opinion et que le but des journalistes français est d'entretenir la pensée unique,  immédiatement ils s'indignent, s'insurgent contre la personne qui oserait dire cela (preuve-même qu'on ne peut pas penser différemment de la masse), et bien sûr, inutile de discuter, ils ont forcément raison... même sans jamais avoir un jour regardé d'autres infos que les infos françaises, histoire de voir comment on voyait le monde et l'actualité, dans les autres pays. Non, pour eux, pas besoin de regarder ailleurs, de s'intéresser à d'autres regards sur le monde que le regard français. Mais après tout, pourquoi iraient-ils regarder ailleurs, puisqu'il n'y a que leur petit nombril qui les intéresse.


C'est quoi, le petit nombril des français ? C'est travailler le moins possible. Avec les RTT, tout est dit : "réduction du temps de travail" : on ne peut être plus clair : bossons-moins ! Ok, mais alors gagnons moins, dans ce cas. Ahhhh nooon : travaillons moins mais gagnons autant, si ce n'est plus.  RTT, ça voudrait plutôt dire "Repose Toi tout le Temps".
Les français sont détestables parce qu'ils font tout au long de l'année des grèves qui paralysent tout le pays pour leurs sacro-saintes 35 heures et autres avantages sociaux personnels, mais pour se donner bonne conscience, vont faire mollement un geste à noël pour des associations caritatives.

Vous ne trouvez pas qu'il y a un air de famille entre les deux photos ci-dessus ?


Autre raison pour laquelle les français sont détestables, c'est leur refus systématique de l'autorité.
Un accident entre une voiture de police et une voiture conduite par des jeunes sans permis et en fuite ? C'est la faute des policiers ! Dans la mentalité française,  si les policiers n'avaient pas poursuivi ces pôôôvres jeunes, il n'y aurait pas eu l'accident. Impossible de faire dire à un français que c'est plutôt si les jeunes n'avaient pas pris la fuite qu'il n'y aurait pas eu l'accident : le français préfèrera toujours être du côté du délinquant plutôt que respecter l'autorité. Ce dénigrement de l'autorité est un héritage direct de Mai 68, dont le slogan "il est interdit d'interdire" trouve aujourd'hui écho auprès des jeunes qui (le résultat est là) frappent et injurient les profs, en toute impunité puisqu'ils savent que les français prendront leur défense et accuseront le prof.  Ce refus de l'autorité va jusqu'à des émeutes qui sont la preuve que les français ne sont pas des gens civilisés, mais de vrais sauvages qui ont besoin de violence à tout prix pour se donner l'illusion qu'ils existent, tellement leur quotidien est ennuyeux. Ils ont besoin de leur dose d'adrénaline pour se donner l'impression qu'il se passe encore quelque chose dans leur pays pourtant empêtré dans un immobilisme effarant.

Dans ce rejet du respect de la moindre règle ou de la moindre contrainte, les français ont cette vision bien à eux de l'employeur, qui n'existe nulle part ailleurs :
celle du "patron salaud". Partout dans le monde,  le patron est perçu comme celui qui permet d'avoir un boulot et un salaire, et qu'à ce titre l'on respecte. Partout ailleurs, le patron est celui dont la réussite force l'admiration et sert d'exemple à suivre. En France, le patron c'est ce salaud qui a osé réussir mieux que nous. Pour un français, c'est dégradant d'avoir à obéir aux consignes d'une hiérarchie. Le patron, en France, est coupable d'être patron, et il faut tout faire pour éviter de lui ressembler. Plutôt que d'essayer de prendre exemple sur ceux qui gagnent, les français préfèrent rester dans la médiocrité et la bassesse d'esprit. Etre patron est un gros mot en France, une ambition dans le reste du monde.


Alors, dans cette guerre qu'ils s'inventent entre le "patron salaud tout-puissant" et le "pauvre salarié asservi", les français ont érigé en sport national la grève. Grève pour gagner plus. Grève contre l'augmentation du temps de travail. Grève pour ne pas partir à la retraite plus tard. Grève pour avoir plus de semaines de vacances. Et puis, un jour, ces grèves à gogo se paient : licenciements et délocalisations. Mais, au lieu de s'interroger sur les raisons de ces suppressions de postes, qui traduisent une difficulté financière de l'entreprise, les français accusent encore plus le patron qui n'est plus un salaud, mais un véritable salopard. Jamais ils n'admettront qu'ils ont une grande part de responsabilité dans ce qui leur arrive. Jamais les français n'admettront que ce sont leurs incessantes grèves qui ont fait baisser la productivité de l'entreprise au point de la mettre en difficultés financières. Jamais ils ne reconnaîtront qu'un patron doit faire face à des charges considérables et qu'il est impossible pour lui de garder la tête hors de l'eau avec des grèves à répétition qui font perdre des millions à la boîte à chaque fois. Non, ça, les français ne l'admettront jamais. Ils seront toujours les  prolétaires opprimés et le patron sera toujours le puissant salaud. Les français n'ont qu'un seul dieu : Marx. 


Les français sont détestables aussi dans leur rapport à l'argent. Dans tous les pays qui gagnent, l'argent, c'est bien, on ne s'en cache pas. Produire de la richesse, c'est permettre au pays de se développer, aux entreprises de créer des emplois au lieu d'en supprimer. Gagner de l'argent, c'est augmenter le pouvoir d'achat, faire prospérer l'économie du pays. Il n'y a plus que les français pour ne l'avoir toujours pas compris. En France, l'argent est tabou, celui qui gagne de l'argent est mauvais, forcément corrompu, et le capitalisme est le mal absolu.  Plutôt que de reconnaître que gagner de l'argent permet d'entrer dans un cercle vertueux,  les français préfèrent se complaire dans leur pauvreté et leur précarité. Pour éviter d'avoir à se bouger pour évoluer et sortir de la misère, les français préfèrent considérer leur sort comme une fatalité au lieu de chercher à être des battants. Car pour un français, être un battant, ça signifie risquer d'être un gagnant, donc de gagner de l'argent, et l'argent, dans la tête des français, c'est mal, c'est tabou, c'est la puissance, et la puissance, c'est pas bien. Alors en France on se complait dans cette "fatalité" qui n'en est pas une, puisqu'il appartient à chacun de faire bouger les choses en y mettant du sien.
Mais ça, y mettre du sien, pour un français, vous n'y pensez pas ! Tout lui est dû, l'assistanat permanent est une religion. Le français, comme un gros bébé qui ne sait rien faire seul, a besoin d'être entièrement pris en charge par maman France.

Les français, jour après jour, contribuent doucement mais sûrement à faire de leur pays un pays sous-développé. La France devient en effet inévitablement un pays sous-développé car elle est plongée dans la léthargie la plus complète (aucune envie de bosser, aucune ambition, aucune volonté, pays constamment bloqué par les grèves, etc.) alors que le reste du monde regarde vers le futur. La France est partie pour devenir un pays pauvre : la jeunesse représente l'avenir d'un pays. En Inde, en Australie, aux Etats-Unis, et dans bien d'autres pays dans le monde, les jeunes veulent créer leur boîte, ils veulent réussir, et ce d'autant plus s'ils sont issus d'une famille modeste ou pauvre : ils veulent s'en sortir et refusent la fatalité. Comme disait Simone de Beauvoir "la fatalité triomphe dés que l'on croit en elle" : les jeunes dans le monde refusent de croire en la fatalité et refusent de la laisser triompher. Mais en France... En France, tout est fait pour ne donner pour seule ambition aux jeunes que de devenir fonctionnaires : l'éducation nationale, bastion de la gauche, pousse les lycéens dans la rue à chaque manifestation d'enseignants, et il n'y a rien de plus facile : en ne trouvant aucun prof pour leur faire cours, les élèves n'ont plus que ça à faire : suivre leurs profs dans la rue. S'ils ne portent que peu d'intérêt à leurs leçons, en revanche, les revendications cgtistes intéresse beaucoup les jeunes : leur avenir est là. Pour devenir à leur tour de bons CGTistes, ils ont intérêt à suivre assidûment les manif '. Les jeunes français qui ont voulu créer leur entreprise et qui ont eu un peu plus d'ambition ont quitté la France : ils ne sont pas suicidaires et savent très bien que la France est un système qui fait tout pour empêcher les initiatives personnelles. Elles ne sont pas impossibles, mais extrêmement compliquées car tout est fait pour les décourager, alors que dans bien d'autres pays, tout est fait au contraire pour encourager ces initiatives.

Les français sont ensuite détestables par leur anti américanisme, dont Chirac est grandement responsable : c'est lui, avec son caniche Villepin, qui ont fait des français des racistes. Oui, des racistes. Quand on dit qu'on est "anti noir" ou "anti arabe", c'est perçu, à juste titre, comme du racisme. Il en est de même quand on se décrit comme "anti américain". C'est être contre un peuple étranger, c'est donc être raciste. Et bien entendu, les français n'ont de cesse que de donner la leçon à ces "sales américains", ou ces "sales amerloches", mais bien entendu ils sont incapables de proposer des meilleures solutions que les américains. Bien entendu, les américains ont toujours tort, ce sont eux qui ont tort d'avoir un chômage dans les 4% et c'est nous qui avons raison d'avoir un chômage dans les presque 8%. Ce n'est qu'un exemple. Les américains ont forcément tort dans la guerre en Iraq. D'ailleurs ils ont eu tort de faire tomber la dictature de Saddam. Et les français ne voient aucun inconvénient à critiquer les Etats-Unis sans jamais réussir à proposer la moindre alternative. Donner la leçon aux autres sans jamais balayer devant sa porte : voilà l'attitude française par excellence. Et c'est une attitude méprisable.

Et les français sont détestables dans la vie quotidienne car ils ont banni de leur vocabulaire les mots respect et  civisme. Pour le français, dans la vie en société, la seule chose qui compte, c'est de tricher, de passer avant les autres. Quand il y a la queue pour monter dans les transports en commun, les français ne laissent pas les autres descendre avant de monter à leur tour. Les transports en commun version française, c'est "dégage de là que je m'y mette". La vie en société en France, c'est ne pas céder la place assise à une personne âgée ou à une femme enceinte jusqu'aux yeux. C'est se vautrer sur le double siège quand il n'y a personne à côté dans le train, dégueulassant tout avec les chaussures sans aucun scrupules. La vie en société avec les français, c'est se garer sur une place pour handicapés quand au bout de cinq minutes on ne trouve pas de place pour se garer. La vie en société avec les français, c'est surtout éviter que l'on soit dérangé dans notre petit confort. Une vieille dame est en difficulté pour monter dans le bus ou pour attraper un produit dans les rayons du supermarché ? Elle va galérer un moment avant que quelqu'un ne daigne enfin remarquer qu'elle a besoin d'aide.
Sur la route, leur incivisme devient pathétique. Un radar ? On tape dessus avec des gourdins ! Les limitations de vitesse ? Je vois peu de personnes respecter le 50 réglementaire en centre ville, ils roulent tous comme des cons, collent au cul et sont prêts à se rentrer dedans. Tu te fais klaxonner si tu ne démarres pas au quart de tour au feu, les stops, c'est en option pour les français, qui confondent stop et cédez-le-passage. J'en passe et des meilleures. Les français au volant me font peur, et je suis sincère. Encore, je ne parle pas de ces jeunes qui dépensent un fric fou pour le "tunning" et transforment leur bagnole d'occas' en manège ambulant, et qui après vont aller pleurer qu'ils n'ont plus de fric pour se payer à manger. Leur attitude sur la route, à ces jeunes-là est, à quelques exceptions près, quasiment criminelle : mieux vaut ne pas se trouver sur leur chemin.



Et puis, pour terminer, les français sont exaspérants par leur chauvinisme. Dites à un français "plus belle avenue du monde ?"... Mais c'est les Champs Elysées bien sûr ! Ah ouais ? Ont-ils déjà vu, au moins en photo, l'avenida 9 de Julio à Buenos Aires ? Ont-ils au moins entendu parler de l'avenue Pall Mall à Londres, de la Gran Via de Madrid, de l'avenue Nanjing à Shangaï, la Cinquième à New-York ?...
Toutes ces artères sont aussi connues dans le monde que les Champs, mais, bien sûr, pour un français, c'est une certitude, la "plus belle du monde", c'est les champs Elysées ! Je suis loin de penser la même chose. Pour moi, les champs Elysées sont une grande avenue où tu ne peux pas faire dix mètres sans risquer de marcher dans une merde de chien. C'est une avenue où ça klaxonne dans tous les sens avec des embouteillages et un bruit qui devient vite assomant. C'est une avenue avec des trottoirs ébréchés, jonchés de mégots et de vieux chewing-gums. C'est une avenue où il faut s'armer de patience pour trouver quelque chose d'ouvert à 23 heures quand on veut manger un petit quelque chose de sympa après un spectacle. Alors en "plus belle avenue du monde", permettez-moi de penser qu'il y a mieux.

par Ruby


COMME TOUT CRI DU COEUR, RECONNAISSONS QUE C'EST PARFOIS EXCESSIF, MAIS...

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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 13:18


Mardi 15 avril 2008

EPOUSERIEZ-VOUS BIBLIQUEMENT CE BEBE ?! 

 
 

Photo : combien de Nujood n'oseront jamais porter plainte ?
 
 
Le Yemen Times vient de révéler une série d’actes pédocriminels perpétrés par un individu en terre d’islam. L’histoire est édifiante. Nujood, une fillette yéménite de huit ans, a subi, pendant deux mois, des abus, sexuels et physiques, de la part de son « mari ». Elle a été contrainte au « mariage » par son père. Son « mari » est âgé de trente ans. Nujood, malgré ses huit ans, a trouvé le courage de se réfugier dans un tribunal de Sanaa, capitale du Yémen. Plus courageux encore, Nujood a demandé le divorce et a porté plainte contre son père. Il faut ici préciser qu’au regard de la loi yéménite, le « mari » et le père de Nujood n’ont commis aucun délit.
 
 


 

 

En effet, la loi yéménite ne fixe pas d’âge minimum pour contracter un mariage. Plus de la moitié des filles yéménites sont « mariées » avant l’âge de dix huit ans, la plupart étant même « mariées » avant l’âge de dix ans. Récemment, le Comité National pour les Femmes, un organe officiel dépendant du gouvernement yéménite, a demandé que la loi fixe le mariage à dix huit ans révolus au minimum. Mais le Comité Yéménite de Jurisprudence a rejeté la demande en arguant du fait que ni la charia, ni la loi islamique, qui régissent le Yémen, ne fournissent des « bases légales » pour fixer un âge minimum en vue de se marier. 


Miguel Garroté


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  • La jeune Noyoud a dû déposer plainte contre son père et son mari, avant d'oser demander le divorce.
    La jeune Noyoud a la sortie du tribunal
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