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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 21:36
DONNONS UN NOM A CES ETRONS...CHARLES ENDERLIN ET SARA DANIEL (liste non limitative....)


Les souteneurs

Des journalistes au-dessus de la vérité et contre la vérité ? André Dufour s’élève contre les propagandistes de toutes ces Pravda.

«Nous renouvelons à Charles Enderlin notre soutien et notre solidarité». C’est par ces mots que se termine la pétition «Pour Charles Enderlin» lancée par le Nouvel Obs et diffusée par plusieurs quotidiens sous forme d’encart publicitaire. Elle est signée d’une flopée de vieux chevaux de retour de la désinformation. En fait, il s’agit d’une réaction indignée contre la relaxe prononcée le 21 mai en faveur de Philippe Karsenty, cet «ignoble individu» qui avait osé douter de l’honnêteté journalistique du plaignant. Or ce dernier, foi de pétitionnaires, «est connu pour le sérieux et la rigueur de son travail…».

Nous voilà sommés, sous peines de poursuites, de prendre cet acte de foi pour une preuve irréfutable.

Rappelons que le «reportage» du correspondant de France 2, «faisant son métier dans des conditions parfois difficiles», pétition dixit, portait sur la mort dans les bras de son père de Mohammed al Dura, jeune garçon palestinien «délibérément» canardé "par les israéliens" dans un échange de tirs avec des Palestiniens armés. Et gare à celui qui douterait, qui essaierait d’en savoir plus long, de regarder les choses de plus près. Ce serait faire preuve «d’obstination haineuse et de volonté de salir la dignité professionnelle» du digne confère des pétitionnaires. «Journaliste sérieux», Charles Enderlin, activiste gauchiste, est à coup sûr le crédible témoin oculaire de cette «réalité sur le terrain», même s’il était non pas sur place, mais à Jérusalem, distant d’environ 70 km. Son «reportage» est en fait un savant montage bâti sur un découpage de diverses et disparates prises de vues, certains rushes montrant même des «répétitions» avant tournage, rassemblées par un caméraman palestinien militant de l’OLP.  Objectivité et sérieux professionnels garantis.

Curieusement, ce reportage est diffusé par France 2 et distribuée gratis, sauf pour le contribuable assujetti à la redevance audiovisuelle, à toutes les chaînes télé du monde, juste la veille du jour où le président Jacques Chirac, voulant sans doute ravir aux USA honnis le rôle de médiateur entre Israël et l’Autorité Palestinienne, devait recevoir Yasser Arafat et Ehoud Barak à l’Elysée. Notre président, après avoir «roulé un patin» à Yasser Arafat, prit prétexte de ce «reportage» pour tancer avec toute la morgue et la grossièreté dont il est capable le chef du gouvernement israélien. Exit la médiation française qui devait, en accélérant le processus vers la paix, renforcer l’influence et les intérêts de notre pays au Proche-Orient.

Seule une «campagne obstinée et haineuse» pourrait prétendre que ces coïncidences et cette concordance ne sont pas dues au seul hasard. Mais qui sont ces vertueux témoins de «moralité» qui dénoncent cette «campagne obstinée et haineuse» contre l’un des leurs ?

Il serait trop long de les passer tous en revue ; ils sont majoritairement «de gauche» et nombre d’entre eux font partie, selon une définition de David Dawidowicz dans un article sur LibertyVox, des «Juifs utiles», ce qui met les détracteurs patentés, et parfois rémunérés, d’Israël à l’abri de toute accusation d’antisémitisme. (Article en référence ici : http://www.libertyvox.com/article.php?id=124).

Passons donc sur des individus tels qu’un Théo Klein qui semble ne pas pardonner à la communauté juive, majoritairement acquise à Israël, de n’avoir pas songé à lui accorder la présidence ad vitam du CRIF, ou sur quelque Hubert Védrine, calamiteux ministre socialiste des affaires étrangères. La signature de pétitions, manifestes et protestations est, pour ce genre d’individus, un moyen ultime de nous rappeler leur existence.

Ce qui nous intéresse, ce sont les «institutions» qui se chargent de conditionner l’opinion publique, tels que Le Monde et ses organes satellites, le Nouvel Obs, Libé, Marianne, France 2 et autres Pravda dont les collaborateurs apportent leur soutien massif à Charles Enderlin.

Voici, parmi tant d’autres, deux exemples de vertu journalistique que j’ai conservés dans mes archives.

Libé : Un jour, au début de l’Intifada déclenchée par Yasser Arafat qui venait tout juste d’encaisser le Prix Nobel de la Paix, Libération exhibait sur toute la Une la photo polychrome d’un policier israélien brandissant une matraque et, à ses pieds, un homme gisant le visage ensanglanté. La légende précisait qu’il s’agissait d’un malheureux Palestinien que le policier israélien avait sauvagement frappé. Rien de tel pour mobiliser toutes les compassions anti-israéliennes en faveur des pauvres Palestiniens. Manque de chance, on devait vite apprendre que le malheureux «palestinien» était un étudiant américain blessé par les jets de pierre d’émeutiers «spontanés» palestiniens et que le policier israélien levait sa matraque pour les empêcher d’achever leur victime. Face aux protestations, Libé tergiverse et finit par expliquer, tardivement, en quatre ou cinq lignes confuses, en énième page et en substance, qu’il y a effectivement confusion mais que cette erreur est sans importance puisque la cause palestinienne défendue par Libé est juste. Certes, mais il ne s’agit plus de journalisme mais de propagande. C’est un autre «métier». C’est au journalisme ce que la prostitution est à l’amour.

On voit ce que les «journalistes» signataires de la pétition «Pour Enderlin»  entendent par «honneur et réputation des professionnels de l’information».

Idem pour le Nouvel Obs. Parmi les nombreux signataires figure, sans vergogne, une Sara Daniel qui, sous couvert d’un reportage sur les crimes «d’honneur» en Jordanie, n’hésite pas à écrire de sa chambre climatisée d’Aman, que les soldats israéliens qui, affirme-t-elle, violent régulièrement des femmes palestiniennes à Gaza distant de plus de 100 km, dont elle est séparée par deux frontières, savent qu’ils condamnent ces femmes à mort. En somme, outre le mensonge délibéré sur le viol des palestiniennes par des soldats israéliens, la Sara de son papa Jean Daniel désigne comme ignobles assassins non pas les frères, père, oncles ou cousins qui, fidèles à leur «respectable» culture, commettent les crimes d’honneur, mais les israéliens. CQFD. C’est sans doute là un modèle de vertu journalistique.
 
Pour ne pas faire trop long, je ne m’attarderai pas sur Le Monde et ses organes satellites, ni sur Marianne ou Le Canard Enchaîné (nul ne nous oblige de lire et encore moins d’acheter ces organes de propagande) ou France 2, à laquelle nous sommes contraints de nous abonner via redevance audiovisuelle. A ce stade, il serait préférable, au nom du libre choix et de la démocratie, de privatiser toutes les chaînes publiques et de supprimer la redevance.

Passons aussi sur les différents correspondants locaux ainsi que sur les grands ou petits reporters qui, du Monde au Figaro, s’étalent sur la culpabilité et les fautes réelles ou supposées d’Israël, "seul responsable du malheur des Palestiniens", mais passent sous silence ou éludent la responsabilité et la malhonnêteté, bien réelles, permanentes et institutionnelles, de la classe dirigeante palestinienne et sur le détournement à son profit ou au profit des milices armées, des aides internationales colossales et permanentes. Or, derrière toute vérité partielle se dissimule un mensonge entier.

A croire que tous ces journalistes «vertueux», du même bord que Charles Enderlin dont ils sont solidaires, qui pervertissent leur métier, obéiraient à un mot d’ordre devenu leur commune devise : «Qu’importe le mensonge si la cause qu’il sert est bonne».

Mais LibertyVox est là pour dire qu’une cause qui a besoin du mensonge pour se justifier est à coup sûr une imposture, une mauvaise cause, une cause dangereuse, une cause à combattre sans relâche.


© André Dufour pour LibertyVox

  

 

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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 19:32




par Michael Rubin
The American, 20 juin 2008




Cet été, la Cour constitutionnelle turque
décidera si le Parti de la justice et du développement (AKP) du Premier ministre Recep Tayyip Erdoğan a violé les «principes d’une république démocratique et laïque» qui servent de fondements à la constitution turque et s’il devrait être banni de la scène politique. La majorité des officiels turcs, dans l’ensemble de l’éventail politique, s’attendent à ce que la Cour se prononce en défaveur de l’AKP et donc qu’elle dissolve le parti et exclue Erdoğan et ses plus proches assistants pour au moins cinq ans.

Bien que le Premier ministre et le ministre des Affaires étrangères Ali Babacan ainsi que des conseillers influents de l’AKP aient tenté de présenter cette démarche comme une exagération injustifiée d’un litige portant sur le port du voile dans les hautes écoles publiques, voire comme un «coup judiciaire», l’affaire est tout à fait justifiée.

Les partisans d’Erdoğan présentent souvent son soutien au processus d’adhésion à l’Union européenne comme une preuve de son libéralisme politique. Mais en fait, Erdoğan s’est servi du processus de rapprochement de l’UE pour démonter le système turc de contrôle mutuel. Il ne se préoccupe guère des institutions de l’UE: lorsque la Cour européenne des droits de l’homme confirma l’interdiction du voile dans les écoles publiques – interdiction également confirmée plus tard par la Cour constitutionnelle turque – Erdoğan fustigea les juges européens pour avoir appliqué une loi civile à une question religieuse et déclara: «Il est incorrect que des gens qui n’ont aucun lien avec ce domaine [de la religion] prennent une telle décision (…) sans consulter des experts religieux.»

L’encouragement des réformes turques par l’Europe a joué un rôle important. Dans une démocratie arrivée à maturité, l’armée doit rester à l’écart de la politique. Et Bruxelles mérite des applaudissements pour avoir fait pression sur la Turquie afin qu’elle réforme son Conseil de la sécurité nationale et donne à cet organe puissant une majorité de civils et une direction civile. Mais en omettant d’encourager la création d’un nouveau mécanisme de contrôle mutuel pour remplacer le rôle traditionnel de l’armée comme gardien de la constitution, l’UE a commis une faute diplomatique. Erdoğan a saisi cette occasion pour négliger la laïcité et la démocratie turques.

En effet, en dépit de ses airs laïques, libéraux et démocratiques, l’AKP est tout le contraire. Babacan a ordonné aux officiels turcs de supprimer les références à la laïcité d’une présentation de la position turque dans le cadre de négociations avec l’UE sur la politique de l’éducation. Dans sa politique intérieure, l’AKP a placé la religion avant la loi. Longtemps, la Turquie a réglementé les écoles coraniques complémentaires, y a vérifié les qualifications des enseignants et imposé des limites d’âge, afin de prévenir l’endoctrinement. Lorsque les mollahs saoudiens faisaient leur tournée de promotion de l’Islam radical en Europe, au Moyen-Orient et en Asie central, ils évitaient généralement la Turquie. Ce n’est plus le cas. Non seulement l’AKP a assoupli les contraintes imposées aux écoles religieuses, mais elle a ruiné les possibilités de sanctions en cas de violations, ce qui a conduit des madrasas illégales à faire de la publicité ouvertement.

D’autre part, en matière de consolidation de son pouvoir, Erdoğan est devenu le Vladimir Poutine turc. À peine entré en fonction, Erdoğan s’est attaché à baisser l’âge de la retraite des fonctionnaires, de 65 à 61 ans, ce qui a permis à son parti de désigner près de la moitié des procureurs et des juges de la nation. Grâce à des jeux d’influence, le Premier ministre a transformé des organes technocratiques tels que le Fonds de garantie de dépôts (TMSF), un organisme disposant du pouvoir de saisir des entreprises privées et des médias, en de véritables ailes du parti. Le personnel du TMSF est maintenant presque entièrement composé de candidats désignés par des institutions financières basées en Arabie Saoudite.

Auparavant, les postes clés des ministères et des départements gouvernementaux dépendaient d’examens de compétences liés à la fonction publique. Entre-temps, Erdoğan a imposé un processus subjectif d’interviews qui lui permet de favoriser des alliés politiques. La pratique s’étend aux entreprises détenues par l’État; Turkish Airlines, par exemple, a commencé à faire subir des tests de connaissance du Coran à son personnel. Les femmes en ont le plus souffert. Comme le relève l’analyste Soner Çağaptay dans Newsweek, «sous l’AKP, les femmes sont largement exclues des positions décisives du gouvernement et du monde du travail, et sont confinées dans leur foyer».

L’AKP a même recouru à des enregistrements des conversations de ses rivaux politiques. À la fin du mois passé, Vakit, un journal islamiste proche de l’AKP, a publié une telle conversation entre l’adjoint du leader de l’opposition et un gouverneur. Cette anecdote, que les médias turcs ont qualifiée de «Watergate turc», a jeté un grand froid dans l’élite laïque turque.

L’AKP a aussi cherché à réduire la puissance de l’appareil judiciaire turc. En mai 2005, le co-fondateur de l’AKP et président du Parlement Bülent Arınç déclara que si la Cour constitutionnelle turque continuait de qualifier d’inconstitutionnelle la législation de l’AKP, celui-ci pourrait fort bien la dissoudre. Lorsque le Danıştay, l’équivalent turc du Conseil d’État français, a émis un jugement opposé à la saisie d’une banque par le gouvernement et au transfert, par Erdoğan, de sa filiale européenne à un allié politique, le Premier ministre ignora l’arrêt.

Contrairement aux affirmations de l’AKP, la décision que la Cour constitutionnelle turque prendra vraisemblablement cet été ne marquera pas la fin de la démocratie turque, mais plutôt sa renaissance. Et Erdoğan aussi entamera un nouveau chapitre. Même s’il était exclu de la scène politique, une bizarrerie du système électoral turc lui permettrait de se présenter en qualité d’indépendant. En d’autres termes, Erdoğan pourrait se retrouver à la tête d’une équipe d’autres anciens de l’AKP dans la fonction de Premier ministre indépendant.

Ici, il s’agit moins d’ambition que d’immunité. Si Erdoğan quitte le parlement, il devra faire face à une multitude d’accusations de corruption. En accumulant son immense fortune, il a refusé de publier des chiffres financiers complets. Aujourd’hui, avec le compte à rebours qui affecte sa fonction de Premier ministre, Erdoğan a renoncé même à l’apparence de la légalité. Il s’est servi de la majorité parlementaire de l’AKP pour bloquer l’enquête sur une récente opération du TSMF par laquelle un journal et une chaîne TV de l’opposition ont été vendus à un allié d’Erdoğan grâce à une intervention illégale de sa part [NdT: voir aussi Nouveau en Turquie: la politique médiatique islamiste modérée]. Le 18 juin, Fatih Altaylı relatait dans Habertürk que l’entreprise énergétique autrichienne OMV a produit une déclaration sous serment affirmant qu’Erdoğan avait indiqué à OMV qu’elle pouvait débloquer un projet énergétique de trois milliards de dollars en remplaçant son partenaire turc de longue date par son beau-fils.

On ne s’étonnera donc pas outre mesure d’apprendre qu’Erdoğan a passé ce qui pourrait être ses dernières semaines de Premier ministre à nommer des alliés politiques au Sayıştay, la Cour des comptes turque, qui enquêtera bientôt sur son comportement.

par ajm



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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 16:51
PALESTINE:

NOM DONNE PAR LES ROMAINS A LA JUDEE D'ALORS APRES DESTRUCTION DU TEMPLE POUR PUNIR LES JUIFS DE LEUR RESISTANCE  - MASSADA -A L'OCCUPATION EN L'AN 75 DE NOTRE ERE.


LES PREMIERS "PALESTINIENS" ETAIENT DONC LES JUIFS...


Sous Israël, quoi ?


Publié par Alain Rubin
le 20/6/2008

 
Il y a quelques années déjà, un journaliste français faisait paraître un livre au titre choc :
« Sous Israël, la Palestine ».

Le titre résumait le propos : Israël n’était qu’un greffon européen illégitime et oppresseur ; Israël n’était qu’une variété de république de Boers dans laquelle les Afrikaners protestants néerlandais et les Huguenots français étaient remplacés par des Européens et des Arabes de
« confession » juive, les uns et les autres se prenant faussement pour des Hébreux exilés en Europe et dans les pays arabo-islamiques.

Ce genre d’ouvrages, ignorant sciemment plus de vingt siècles d’histoire, cherchent à développer un argumentaire que l’on retrouve aujourd’hui chez l’autorité palestinienne, ce qui n’étonnera pas, mais aussi chez Condolizza Rice et, bien entendu, sous la plume de cette cohorte de journalistes formatés qui nous servent des articles quotidiens hostiles à Israël, ou, sous emballage d’ouvrages d’Histoire, des histoires, celles de leurs certitudes idéologiques vendues au grand public pour des vérités irréfragables.


Ces certitudes visent à délégitimer Israël. Elles sont actuellement mises en œuvre pour obtenir la condamnation de la construction de 1300 logements dans des quartiers juifs de Jérusalem. Ces quartiers nous dit-on, doivent devenir des portions de la future Jérusalem capitale palestinienne, une « terre arabe » disait hier un officiel syrien.

Tiens, une question : Si sous Israël on trouve la « Palestine », sous Jérusalem, que trouve-t-on?

En 1840, les Ottomans y recensaient que plus de 50% des habitants, dans ce qui deviendra après 1948 la « vieille ville » dite aujourd’hui « Jérusalem est » étaient des Juifs. Ainsi, la Jérusalem où les Juifs résidants sont, pour nos journalistes et Madame Rice, des « colons », c’est-à-dire une sorte d'occupants, était en 1840 une ville principalement peuplée de Juifs.
 
Les ancêtres arabo-musulmans des actuels Palestiniens constituaient alors moins de 25% des habitants de la grosse bourgade endormie qu’était devenue la prétendue troisième ville sainte de l’Islam.

En 1948, avant qu’elle soit annexée par la Jordanie, la partie orientale de Jérusalem comprenait la ville entre les murailles où se trouvait le vieux quartier juif des 15ème, 16ème 17ème, 18ème et 19ème siècles.

Jusqu’en 1948, la Jérusalem de l’époque du Ichouv* était une véritable capitale, ultra majoritairement juive qu'il serait difficile de qualifier de « Terre arabe » !

En d’autres termes, sous la Jérusalem palestinienne, on trouve Israël, son peuple !

On comprend que l’archéologie soit considérée ici et là comme un crime colonialiste sioniste. Elle montre que l’on trouve partout des vestiges juifs sous la Jérusalem ottomane, byzantine, et romaine ainsi que sous les bourgades et anciennes bourgades « arabes ».

(...)



* Ichouv, mot hébreu désignant l’auto organisation des Juifs de la Palestine ottomane de la fin du 19ème siècle à 1918 puis celle du mandat britannique jusqu’à la proclamation d’indépendance le 15 mai 1948 (partis politiques, syndicats ouvriers et patronaux, organismes économiques, structures de défense, système de représentation locale et internationale…)
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22 juin 2008 7 22 /06 /juin /2008 14:24

DEUX POIDS...DEUX MESURES !

Irak : Ils crucifient des enfants pour faire fuir la communauté chrétienne.

crucifixion enfantsDes militants musulmans crucifient des enfants pour terroriser leurs parents et les inciter à fuir l’, s’est fait dire hier un comité parlementaire qui étudie la persécution des minorités religieuses.

Depuis le début de la guerre en 2003, environ 12 enfants, certains âgés d’à peine 10 ans, ont été enlevés et tués, puis cloués sur des croix de fortune près de chez eux pour terrifier et tourmenter leurs parents.

Le comité a été informé qu’un enfant a été arraché, décapité, brûlé et laissé sur le pas de la porte de sa mère.

Filham Isaac, parlant au nom du Comité de défense des intérêts Ninive, a déclaré au comité des droits de l’homme que les églises chrétiennes d’ ont été bombardées, des membres du clergé assassinés et les femmes dévoilées ont été violées ou marquées à l’acide.

Cela fait partie d’une campagne systémique - et très efficace - de nettoyage ethnique des non-musulmans de la région, dit-il. Les chaldéens et assyriens, connus sous le nom de Assyro-Chaldéens, ont été autrefois la plus grande minorité chrétienne en . Ils sont aussi les plus anciens, étant les descendants des anciens Mésopotamiens qui ont adopté le christianisme au premier siècle.

L’Eglise catholique chaldéenne, l’Église syro-catholique, l’Église syriaque orthodoxe et l’Église d’Orient sont parmi les églises chrétiennes en .

Aujourd’hui, environ 300 000 , ou un sur trois, sont réfugiés, a-t-il déclaré.

« C’est à un point de crise », a dit par la suite Zaya Oshana, collègue de M. Isaac. « Les seront complètement anéantis ».

Pourtant, les Assyro-Chaldéens ne veulent pas quitter leur pays en masse.

Au lieu de cela, ils demandent de l’aide pour habiter les plaines de Ninive, dans le nord-ouest de l’, où ils peuvent avoir une certaine indépendance et former leur propre État. La terre est riche, et il pourrait aussi y avoir du pétrole.

Il y a un certain soutien aux Etats-Unis et en Europe pour cette zone indépendante, et les actualités internationales indiquent que plus de 700 officiers de police ont commencé une formation pour protéger les en , mais un autre 4000 serait nécessaire pour sécuriser pleinement la région et établir des postes de contrôle sur toutes les autoroutes et les routes menant dans les villages.

(…)

Source : Point de Bascule (article original en anglais : The Ottawa Citizen) 

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 19:37

DUR...DUR DE "FAIRE LA BOMBE"...FORCEMENT, CA FATIGUE  !

Iran : Photos de mollahs en plein labeur

“Le Conseil de discernement de l’intérêt supérieur du régime” est une institution iranienne créée en 1988 par l’ayatollah Khomeyni qui arbitre les litiges apparus entre le parlement et le Conseil des gardiens de la révolution.

On pourrait croire qu’un gaz soporifique a été difusé dans la salle, mais ces photos ont été prises lors de séances ordinaires.

 

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 12:01

BIEN SÛR, C'EST EN BELGIQUE ET IL FAUT DIRE QU'ILS SONT VRAIMENT CONS LES WALLONS MAIS PRENONS GARDE...

LA "TOURNANTE" EST UNE PUNITION RITUELLE EN CAS DE DESOBEISSANCE AUX PRECEPTES DE LA R.A.T.P. !...


Belgique : Violée en pleine gare car elle ne portait pas le voile.

Lola, 21 ans, a été agressée par deux hommes. Des navetteurs ont vu mais n’ont pas réagi.

gareSAINT-GILLES C’est un père indigné, écoeuré, scandalisé qui nous parle. “Ma fille a été violée gare du Midi. À Bruxelles. Capitale de l’Europe. En toute impunité.

C’était le 12 juin. “Ma fille revenait de Waterloo. Il était 21 h. À sa sortie de train, elle s’est dirigée vers le Bancontact.” Un endroit de passage. C’est pourtant là que le drame s’est déroulé.

En plein milieu d’une gare. Mais comment est-ce possible ?“, poursuit le papa de Lola, 21 ans. Deux hommes lui ont reproché de ne pas porter le voile. Ma fille est jolie. Elle est blonde aux yeux bleus.

Tout s’est ensuite passé très vite. “Un des agresseurs a sorti un couteau. Ma fille a été plaquée contre le mur du Bancontact. Le couteau sous la gorge, un des gars l’a violée. L’autre a regardé.

Il était 21 h. Il fait encore clair dehors et la gare est loin d’être vide. Des gens sont passés. Ma fille est certaine d’avoir vu au moins trois personnes. Aucune ne s’est arrêtée pour la sauver.

Le viol terminé, les agresseurs sont partis, tranquilles. “C’étaient deux Nord-Africains. Ils n’avaient même pas de cagoules. Et ne me dites pas que je suis raciste parce que je vous donne leur origine ! Ma fille a été violée car elle ne portait pas de voile. Ça, c’est la réalité ! a confié le papa à DHnet.be (…)

Marc est amer. “Je n’en peux plus de cette où tout est permis. On laisse comme ça des zones de non-droit à des jeunes à la dérive. Ces violeurs ne voulaient qu’une seule chose : abuser de ma fille, la posséder et la dénigrer car elle n’était pas comme ils entendent que les jeunes filles soient… C’est une honte.”

Article complet & SourceLa Dernière Heure


LE PROBLEME EST DE SAVOIR SI, APRES, AVORTER EST HALLAL...

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20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 09:31
IL SEMBLE QU'IL Y AIT DE PLUS EN PLUS DE CONVERSIONS AU CHRISTIANISME AU NIGERIA...

Kidnappé trois jours après sa conversion

 

 

 

Au nord du Nigeria, il est de plus en plus courant que des chrétiens d’origine musulmane soient kidnappés. Le but : les faire revenir à l’islam. C’est ce qui est arrivé récemment à Sanusi.

 

Sanusi Ali est âgé de 21 ans et jusqu’en février dernier, il suivait tranquillement sa scolarité dans un pensionnat de l’Etat de Katsina au Nigeria. Sa mère est chrétienne, son père musulman et c’est certainement une des raisons qui l’ont poussé à faire une étude comparative de l’islam et du christianisme. Cette étude allait bouleverser sa vie, car Sanusi a alors décidé de devenir chrétien. Il s’y est engagé le 14 février devant un pasteur.

Dès lors, Sanusi ne s’est plus rendu à la mosquée, éveillant la curiosité de son oncle. Et lorsque celui-ci est venu lui poser quelques questions au sujet de son absence, Sanusi s’est ouvert à lui, lui expliquant sa conversion au christianisme. Sanusi ne se doutait pas que son oncle allait le dénoncer aux autorités locales. Il ne pensait pas non plus qu’il allait être expulsé de son école et arrêté par la police de la charia qui l’a emmené dans la ville de Kano, à 120 km de chez lui.

Ainsi, le 17 février 2008, trois jours après sa conversion au christianisme, Sanusi s’est retrouvé enchaîné dans une cellule sombre. Selon Kurma, sa mère, qui a été autorisée à le voir, le jeune homme a été torturé. Depuis, elle n’a plus aucune nouvelle de son fils. Les membres de l’assemblée jeûnent et prient pour lui.

L'Etat de Katsina fait partie des 12 Etats gouvernés par la charia au nord du Nigeria. Conformément à la loi islamique en vigueur, il est interdit pour les musulmans de quitter l’islam. Ceux qui s’y risquent s’exposent à l’enlèvement, la séquestration et la torture. Pourtant, des musulmans continuent à se convertir au christianisme dans cette région.


• Prions pour Ali, afin qu’il soit libéré.
• Prions pour la mère d’Ali, qui est sourde-muette et qui a dû fuir son foyer après avoir été violemment battue par son mari.
• Prions pour les chrétiens des 12 Etats du Nigeria ayant adopté la charia et remercions Dieu pour leur persévérance dans l’épreuve.



Source : Portes Ouvertes France

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15 juin 2008 7 15 /06 /juin /2008 14:11
58% des Français auraient souhaité que la ratification du traité trituré et malaxé ait fait l'objet d'un référendum, comme pour les Irlandais... 

Ceci confirme bien la rupture existentielle entre le peuple et ses "représentants" !

Alors ! En pratique !  Comment peut-on valablement espérer imposer au peuple un machin dont il ne veut pas ?...

Vox populi...vox dei !

L'ignorer finira par coûter trés cher !

La Révolution est devant nous et ce n'est visiblement pas celle du Facteur...



La supranationalité, c'est-à-dire l'absence de nationalité...

Le multiculturalisme, c'est-à-dire un pataquès relativiste dominé par les plus gueulards et les plus incultes...

Le métissage forcé, c'est-à-dire un néo-racisme fondé sur  le degré de 'blanchitude', relation que les Noirs établissent déjà spontanément entre eux...

Tout cela n'est que billevesées d'utopistes névrosés !

Alors, de grâce, halte au feu Messieurs les apprentis sorciers !

Revenons, et revenons vite, aux fondamentaux de la sagesse des nations,
celle construite sur des siécles d'expérience durement acquise par nos anciens !





 
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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 19:35

LE JAMBON...C'EST BON !

Les Indig[è]nes de la République inquiètent la police.

Les jours sont-ils comptés pour le mouvement islamogauchiste ouvertement antifrançais et antiblanc des Indig[è]nes de la République ?

Vour pourrez retrouver la marche dont il est question dans cet article dans notre billet du mois dernier avec vidéos et photos.

marche des indigènes de la république

Dénonçant la République «raciste et coloniale» et les «sous-chiens» blancs, ce mouvement est dans le collimateur des RG et de la justice.

Symbole d’une dérive identitaire, le Mouvement des indigènes de la République est désormais sous haute surveillance. Depuis peu, les services de renseignements ont accentué leur attention sur l’idéologie sulfureuse de cette association. Se présentant à l’origine en 2005 comme des «descendants d’esclaves et de déportés africains, filles et fils de colonisés» par la , les Indigènes, gravitant dans la nébuleuse de l’extrême gauche, avaient recruté parmi ceux ayant combattu la loi interdisant le voile à l’école. Des fidèles du prêcheur musulman Tariq Ramadan, des altermondialistes ou encore des trotskistes sont ensuite venus gonfler les rangs des militants. Arc-bouté sur un virulent repli communautariste, le MIR a depuis lors versé dans l’outrance. Ainsi, le 8 mai dernier, jour anniversaire de la répression des émeutes musulmanes de Sétif en 1945, les Indigènes ont animé dans Paris une «marche d[écoloniale» conviant les «immigrés, noirs, arabes» à pourfendre «la République raciste et coloniale». Avec une bonne dizaine d’associations disant vouloir lutter contre les discriminations, le Mouvement des indigènes a drainé quelque 800 personnes, selon une estimation des renseignements généraux. Les Indigènes font aujourd’hui l’objet d’une note confidentielle de plusieurs pages. Derrière la banderole de tête, des manifestants brandissaient des slogans scandant «Non à l’intégration par le jambon» ou encore dénonçant la politique occidentale de la domination de la ».

Mais ce sont les déclarations d’Houria Bouteldja, porte-parole du mouvement, qui alimentent à nouveau aujourd’hui la polémique. À l’occasion d’une émission télévisée, cette femme membre du collectif féministe les Blédardes en réaction au collectif Ni putes ni soumises avait déclaré : «C’est le reste de la société qu’il faut éduquer, (…) c’est le reste de la société occidentale… Enfin de ce qu’on appelle, nous, les “souchiens”, parce qu’il faut bien leur donner un nom, les “blancs”.» Le néologisme de « souchiens » a provoqué l’ire au sein du gouvernement.

«Accusations mensongères»

Qualifiant ces propos d’«inacceptables», Brice Hortefeux s’est le premier déclaré «très choqué, très heurté». Après s’être félicité que les actes de racisme soient passés de 169 à 71 entre 2004 et 2007, le ministre de l’Immigration a déploré que le «risque existe aussi à l’égard de la communauté nationale». Sans attendre, il a attiré la vigilance de la garde des Sceaux, Rachida Dati.«L’association doit savoir qu’elle ne doit plus franchir les bornes», prévient-on hier dans l’entourage du ministre. Sur Internet, les Indigènes, évoquant des «accusations mensongères» et sentant peut-être le vent du boulet, assimilent maintenant le vocable de «souchiens» à une «formule de dérision». Cela ne les empêche pas de dénoncer «le président de la République, élu pour casser la indigène». Nouveau dérapage ? «En dépit de certaines similitudes, le MIR diffère de la Tribu Ka, en cela qu’ils ne commettent pas d’action violente », note un spécialiste. Groupuscule prônant la suprématie de la race noire, Tribu Ka avait été dissous par décret en juillet 2006 pour ses menées racistes.

Article de Christophe Cornevin
Source : Le Figaro

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14 juin 2008 6 14 /06 /juin /2008 17:05


SELON LE GRAND PRINCIPE DEMOCRATIQUE:
 
"SI TU N'EN VEUX PAS TU EN AURAS QUAND MÊME !"...
 
UNE MOUTURE BIDOUILLEE ET ILLISIBLE DE LA CONSTITUTION EUROPEENNE REJETEE PAR LA FRANCE ET LES PAYS-BAS EN 2005 A ETE PRESENTEE A NOUVEAU SOUS L'APPELATION DE TRAITE DE LISBONNE AU PEUPLE IRLANDAIS QUI L'A REJETEE A SON TOUR.


LES PEUPLES D'EUROPE NE VEULENT PAS D'UNE USINE A GAZ QUI IGNORE LES NATIONS...

IL FAUT QUE NOS DIRIGEANTS LE COMPRENNENT ENFIN !

QUOI DE COMMUN ENTRE UN BALTE ET UN SICILIEN ?...

LES UTOPIES FINISSENT TOUJOURS DANS LES POUBELLES DE L'HISTOIRE MAIS SOUVENT DE FACON SANGLANTE...

N'IMPOSEZ PAS AUX NATIONS DE RENONCER A LEURS HISTOIRES RECIPROQUES ET AU SACRIFICE DE LEURS ANCÊTRES...IL VOUS LE FERONT PAYER UN JOUR !

L'ON NE FAIT PAS DE BONNE POLITIQUE AVEC DE BONS SENTIMENTS ET L'ANGELISME RISQUE DE SE RETOURNER DE MANIERE BRUTALE CONTRE LES DOGMATIQUES.

NE VENDONS PAS NOS ÂMES POUR QUELQUES DENIERS DE PLUS...

REVENONS A L'EUROPE DE NATIONS, FAISONS RESPECTER NOS FRONTIERES, FAISONS RESPECTER NOS TRAVAILLEURS ET NOS INDUSTRIES, REPRENONS LES RÊNES DE NOS ECONOMIES DANS UN CADRE COMMUN DEFINI,  AFFIRMONS AVEC FIERTE NOS ORIGINES CULTURELLES, REDEVENONS ENFIN MAÎTRES CHEZ NOUS !...

ALORS NOUS SERONS DES MOTEURS D'UNE EUROPE QUI COMPTERA DANS LE MONDE DE DEMAIN !

SINON CE SERA LE REGNE DES... BARROSO !!
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