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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 11:45

                                                                                                                            Le 25 juillet 2010.

 

 

 

Cher Président,

 

 

Votre ministre de l'Intérieur, Monsieur Brice Hortefeux, ne semble pas avoir pris la mesure de ce qui attend notre pays sous peu au regard de ce qui s'est passé à Grenoble et ailleurs.

 

Un constat: il ne s'est jamais donné les moyens de sa politique et est donc condamné à l'impuissance face à des hordes bien déterminées et de plus en plus armées.

 

Il ne s'agit pas, et vous le savez bien, de mouvements "sociaux" comme certains voudraient le faire croire à un peuple français qui, pour l'instant, ne souhaite entendre que ce qui le rassure.

 

Il s'agit du rejet de notre existence en tant que nation, de notre façon de vivre et d'un combat constituant les prémices d'une substitution de population.

 

Ne nous y trompons pas !

 

Vous le savez, bien sûr, mieux que quiconque !

 

Monsieur Hortefeux aussi et pourtant....

 

Pensez-vous que malgré la démobilisation criminelle orchestrée du peuple de France, celui-ci sera prêt à abdiquer devant des  hordes primaires, incultes venues du diable vauvert avec des usages dignes de l'homme de Cro Magnon.

 

Pensez-vous sincèrement, aprés mûre réflexion, que l'on puisse effacer en une quarantaine d'années mille cinq cents ans de rayonnement, de culture, d'art de vivre, de savoir, de savoir-faire, de spiritualité et de patrimoine, apanage de notre pays ?

 

N'oubliez pas la vaillance de nos Poilus et celle de nos pères en 1940 dont cent mille sont morts en cinq semaines pour la défense du sol de la patrie et qui n'ont rendu les armes qu'aprés avoir pris conscience de l'incapacité de l'Etat-Major et de l'Etat socialiste à concevoir une guerre de mouvement par des moyens mécanisés dignes de ce nom.

 

Leurs fils sont vivants et ne laisserons pas faire et ce, face à une attitude qui frôle l'incurie pour des mobiles qu'ils ne comprennent pas ou pas encore ! 

 

Ainsi, Monsieur le Président, ne croyez-vous pas qu'il serait temps de:

 

 

 

1- Décider un moratoire dans nos relations avec l'Union Européenne afin de nous redonner l'espace décisionnel dont nous avons besoin en matière de frontières, d'immigration et de droits des citoyens pour éviter tout rigorisme là où il ne se justifie pas et tout laxisme là où il convient de sévir avec la dernière énergie.

 

2- Mettre en place une ou des juridictions spécifiques en matière de guérilla urbaine et en matière d'activités anti-nationales (propos et actes), ceci pour éviter la mainmise de certains syndicats de magistrats sur les jugements à intervenir.

 

3- Renforcer les peines, en particulier celles visant la complicité de participation à une émeute, en égalisant celles-ci avec celles des criminels dûment authentifiés.

 

4- Définir dés lors ladite complicité comme la présence de l'individu dans un rayon de 25 à 30 mètres du lieu de commission d'un délit ou d'un crime commis en réunion.

 

5- Faire intervenir des camions permettant la propulsion d'un filet de type épervier et l'émission de gaz incapacitants.

 

6- Tout individu pris dans le champ ainsi juridiquement défini est déclaré complice des faits incriminés et traduit en comparution immédiate devant la juridiction ad'hoc.

 

7- Sa condamnation comporte à la fois un volet purement pénal qui conduit à sa détention dans des locaux spécifiques (ancienne caserne et autres, par exemple) et un volet civique, à savoir sa déchéance de la citoyenneté française et son retour dans son pays d'origine ou celui de ses parents, ceci mettant fin à la détention, sauf crime de sang.

 

8- Une enquête trés poussée est faite au niveau familial à la recherche d'éléments anti-nationaux alors bannis aprés retrait immédiat de la nationalité.

 

9- Modification de la Constitution et des textes législatifs en amont assurant la légalité des retraits de nationalité. 

 

10- Application désormais impérative, lors des émeutes, du principe des trois sommations avant tir direct, principe se substituant à celui dit de la légitime défense qui ne fait que conduire le défenseur du droit devant la justice du fait de la difficulté à définir les conditions du tir.

 

11- Couvre-feu de quarante huit heures voire plus aprés toute émeute dans un site donné et dans un rayon de l'ordre de un à deux kilomètres en zone d'urbanisation dense.  

 

Voilà, Cher Président, les mesures préalables qu'il conviendrait de prendre avant de prétendre intervenir efficacement dans ce qui ressemble de plus en plus à une guerre ethnique et à une revanche.

 

"Si vis pacem, para bellum"  disait un Romain célèbre !

 

Je me permets de vous adresser la présente missive sous la forme ouverte à grande diffusion pour éviter qu'elle ne finisse entre les mains d'un chef de cabinet à réponse automatisée comme cela s'est produit à l'occasion d'un courrier personnel dans lequel je vous conseillais de soumettre tous les frais inhabituels d'un ministère à un Grand Econome et ce, de manière préalable à la dépense prévue.

 

Reconnaissez que cela nous aurait épargné nombre de cigares, nombre d'heures de vols en jets privés, nombre de chambres d'hôtels, nombre de logements "de fonction" et autres brimborions dont le citoyen, déjà étrillé, à la charge injuste !

 

 

Là encore, il faudra bien arriver à considérer que l'usage à titre personnel des deniers publics constitue un délit répréhensible avec, pour conséquence, le dépôt d'une plainte et la perte du portefeuille...si l'on peut dire, outre l'exclusion définitive de tout poste de représentation nationale !

 

 

Voilà, Cher Président, le fruit de quelques réflexion d'un citoyen de base.

 

Acceptez, je vous prie, l'assurance de toute ma considération pour votre haute fonction.

 

 

 

 

 

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