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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 10:14


LES RELENTS IMMIGRATIONNISTES ONT ENVAHI NOS MEDIA...ET, HELAS, NOS ESPRITS !


IL EST DONC UTILE DE FAIRE LE POINT ET D'ANALYSER LES PONCIFS QUE L'ON NOUS FAIT INGURGITER A LONGUEUR DE JOURNEE... 




Cliché n°1 : “C’est nous qui avons fait venir les immigrés, car ils étaient indispensables économiquement. Ils ont été et demeurent le moteur de la croissance”


Thierry Desjardin, dans son essai Lettre au Président à propos de l’immigration, détruit ce cliché qu’il formule ainsi : « nous les avons fait venir, nous avions besoin d’eux ». Effectivement, de 1960 à 1973, le patronat recrutait au Maghreb une main-d’oeuvre docile et peu onéreuse, avec la complicité des syndicats. Alors que la main-d’oeuvre européenne ne manquait pas ! Nous n’avions donc pas “besoin d’eux”, mais le capitalisme exploiteur, si. Ce fut une erreur économique, un calcul à courte vue ; car cette immigration a limité l’appel à l’investissement ; les pays européens qui n’ont pas fait appel à la main-d’oeuvre afro-maghrébine ont plutôt connu une croissance plus forte que celle de la France. Depuis 1973, les arrivées de migrants se font par “pression”, c’est-à-dire qu’ils arrivent en s’imposant. C’est leur intérêt d’immigrer, pas le nôtre. Un allogène chômeur ou assisté ici vit bien mieux qu’en travaillant chez lui. Avec l’arrivée massive des clandestins, depuis le milieu des années soixante-dix, on voit bien que ce n’est pas l’Europe qui appelle les allogènes par besoin économique, mais eux qui s’imposent. La présence des immigrés (naturalisés ou non) est un frein à la croissance par leur énorme coût, leur faible niveau de compétence professionnelle malgré toutes les formations qu’on leur propose, mais aussi la cause d’une dégradation générale de la qualité de la Gie et de la cohésion sociale.
Contre-slogan : L’immense majorité des allogènes sont ici volontairement et sont un frein pour la croissance, l’emploi, le niveau et la qualité de la vie.


Cliché n°2 : “Ils font les travaux que les Français ne veulent pas faire”



Comme l’écrivait Alain Griotteray, le travailleur immigré a depuis longtemps été remplacé par le chômeur et l’assisté immigré. Ce mythe de l’immigré-esclave a la vie dure. De plus, le parti immigrationiste tente maintenant d’imposer des quotas à l’embauche pour les allogènes, leur réservant des emplois dont les Français européens sont exclus. Beaucoup d’emplois, que les Français de souche aimeraient bien avoir, sont aujourd’hui réservés à ces allogènes, des municipalités aux grandes surfaces, en passant par les administrations qui pratiquent une politique préférentielle de discrimination positive cachée. Ne parlons pas, évidemment, des “emplois-jeunes” et des “contrats emplois-solidarité”…
Contre-slogan : Ils restreignent le volume d’emploi des Français autochtones.



Cliché n°3 : “Les Maghrébins et les Africains sont les Italiens et les Polonais d’hier. La France a toujours été un pays d’immigration. Rien n’a changé”



C’est se moquer du monde, puisqu’ils ne sont pas Européens et sont de moeurs et de mentalité extrêmement éloignées. Comparer les immigrations inter-européennes, qui n’ont jamais posé de problèmes d’intégration, avec les arrivées massives de populations afro-asiatiques, c’est occulter la réalité ethnique des sociétés humaines. Il ne faut pas se focaliser sur la notion de “nationalité”, si chère à l’idéologie républicaine. Un Flamand de nationalité belge, un Toscan de nationalité italienne, un Provençal de nationalité française sont bien plus proches entre eux que ne le sont, par exemple, un Antillais et un Savoyard. Pourtant les premiers sont “Français” depuis plus longtemps que les seconds !
Contre-slogan : La France n’a jamais été un pays d’immigration extra-européenne. Elle le devient.


Cliché n°4 : “Les immigrés sont des exclus victimes du racisme et du paupérisme économique”



Je démontre au contraire dans cet ouvrage que les immigrés bénéficient de beaucoup plus d’aides et de prestations sociales que les Français d’origine. Les jeunes immigrés sont l’objet de coûteuses mesures d’aides à l’emploi, à la formation, aux loisirs. Dans les “cités”, grâce aux prestations et à l’économie parallèle, les allogènes ont un niveau de vie très correct. Les présenter comme un lumpen-prolétariat est une imposture. Les SDF et les clochards d’origine afro-asiatique sont d’ailleurs rares, contrairement à la légende. Beaucoup d’immigrés ne se sentent nullement exclus, mais s’excluent volontairement, par haine ethnique, d’une société qu’ils combattent. Leur racisme anti-européen (la fameuse “haine”) est autrement plus fort que le prétendu racisme des autochtones. D’ailleurs, la xénophobie, qui est toujours un phénomène minoritaire en France (ce qui pour les allogènes est une chance miraculeuse), est provoquée par les méfaits des jeunes enfants d’immigrés, et ne s’apparente pas à un racisme intrinsèque envers les Arabes ou les Africains.
Contre-slogan : Les immigrés sont économiquement et socialement favorisés, en dépit du rejet par beaucoup de la société d’accueil

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Cliché n°5 : “La surcriminalité des jeunes Afro-maghrébins vient de ce qu’ils sont déracinés ou (variante) parce qu’ils vivent en ghettos”


C’est ce slogan qui incite les pouvoirs publics à vouloir disséminer les allogènes sur le territoire : ce qui revient à faire fuir les autochtones (non par racisme, mais parce que la cohabitation ethnique est insupportable physiquement) et à reconstituer de nouveaux ghettos. Vivre en ghettos, ou plutôt, de leur point de vue, sur des territoires libérés des lois européennes, sans cesse étendus, est leur stratégie.
D’autre part, les intéressés ne se sentent nullement déracinés : ils s’enracinent à la fois dans l’islam, l’arabisme et dans la culture ethnique black américaine. Les phénomènes conjoints des “cultures” rap et raï l’attestent. Les intellectuels de salon qui expliquent les déviances sociales des jeunes afro-maghrébins par une “perte d’identité”, une “américanisation”, un abandon déculturant des racines arabo-africaines au profit d’une “sous-culture américaine” hallucinogène, profèrent des contre-vérités plaintives qui s’expliquent par leur ignorance du terrain. Les Beurs-Blancs ne sont pas “américanisés” au sens où les jeunes Européens le sont. Ces derniers sont réellement déculturés et déracinés, pas les premiers. Qui ne retiennent de la culture américaine que la composante “rap-black” protestatrice anti-Blancs. Et qui, en revanche (phénomène raï), s’imprègnent d’arabisme affirmatif, à la plus grande joie des imams des cités.
Contrairement aux fantasmes de la droite communautariste qui s’imagine que l’islamo-arabisme des banlieues est un vecteur de lutte contre l’américanisation, il faut répondre : les jeunes immigrés ont créé une contre-culture (qui est en même temps une sous-culture à gaz pauvre) qui associe le black-américanisme à l’arabo-islamisme.
Les jeunes immigrés sont très bien dans leur peau, ne vous faites pas de soucis pour eux ; ils se pensent comme envahisseurs. Ils sont déculturants et non pas déculturés. A preuve : l’attitude des jeunes Blancs qui sont à leur contact et qui, par mimétisme, adoptent leur parler infra-verlan, leurs modes, leurs musiques, se soumettent totalement à leur influence et subissent une inquiétante régression culturelle.
Ajoutons que, pour avoir la paix (relative) et surtout en gage de sujétion, un certain nombre de jeunes Européennes se convertissent à l’islam et acceptent leur infériorisation.
Contre-slogan : Les jeunes immigrés s’enracinent dans une nouvelle culture néo-primitive et des ghettos en expansion, ce qui les satisfait pleinement
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Cliché n°6 : “La délinquance des jeunes fils d’immigrés, tout comme la violence des jeunes est le résultat du chômage, du néo-libéralisme et du durcissement des rapports économiques”



C’est une variante du cliché n°5 ci-dessus. Ce cliché vise à confondre lutte de classes et lutte ethnique. La délinquance actuelle ne relève pas de la lutte de classes.
Je suis le premier à dénoncer les méfaits du néo-libéralisme, du libre échange débridé, de l’autonomie de l’économie financière et spéculative, bref de la dictature de la fonction marchande, qui lamine les rapports sociaux, brise les solidarités et attise le paupérisme. Mais pourtant, ce cliché ne tient pas. Pourquoi ?
1) Les solidarités communautaires (ethniques) des immigrés n’ont nullement été fracturées par le néo-libéralisme. Au contraire. Le démantèlement des solidarités affecte les Européens et pas les autres.
2) Durant la crise des années trente, où le chômage et le paupérisme étaient en Europe bien plus importants qu’aujourd’hui, où la proportion des jeunes générations était de 10% plus élevée, où la dureté du monde du travail dépassait celle d’aujourd’hui, aucun phénomène de délinquance massive ne fut relevé. Les migrants italiens, espagnols, portugais et polonais de la période 1890-1960, bien plus pauvres et démunis que les jeunes allogènes extra-européens d’aujourd’hui, ne posaient pas de problèmes de sécurité publique.
3) La violence et la délinquance touchent principalement les jeunes Afro-maghrébins et très peu les Asiatiques (Chinois, Pakistanais, etc.). L’argument économique ne tient donc pas.
Contre-slogan : La cause de la délinquance et de la violence des jeunes issus de l’immigration est endogène et ethnique ; elle relève d’un heurt ethnique quasi mécanique, foncièrement inévitable et donc non réductible aux analyses criminologiques ordinaires

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Cliché n°7 : “La société multiraciale multiculturelle et pluri-religieuse est un enrichissement. L’apport des immigrés est considérable, culturel comme économique. Vive l’Europe multicolore et métissée”


On connaît le slogan de SOS Racisme, adepte du “Black-Blanc-Beur”, : « La France est comme une mobylette, elle marche au mélange ». Dans l’histoire, toute les sociétés multiculturelles et pluri-ethniques n’ont jamais été très créatrices mais toujours conflictuelles. Le contre-exemple est celui du Japon, société mono-ethnique. Le coût économique et social de l’immigration est énorme ; c’est un véritable boulet, facteur de conflits sociaux et de décompétence générale. L’apport culturel et économique des immigrés est négligeable. Ni dans la recherche, la création d’entreprises, les arts, la médecine, etc., ils ne se montrent performants. Leur proportion parmi les élites créatrices est infime par rapport à leur proportion dans la population, exception faite des Asiatiques d’Extrême-Orient. Et ce fait n’est pas explicable par le racisme ou l’exclusion. Ce cliché relève du romantisme social. Ceux qui le distillent donnent l’exemple des ÉtatsUnis : voyez, disent-ils, comme cette société multiraciale et multiculturelle est performante ! Le problème des américanolâtres comme des américanophobes, c’est qu’ils ne connaissent pas les USA où ils n’ont jamais vécu. La situation américaine n’est pas comparable à celle de l’Europe.
Contre-slogan : Toute société multiraciale est multiraciste, aucune société pluriculturelle ou multiethnique n’est créatrice.



Cliché n°8 : “Il n’y a pas plus d’étrangers en France qu’en 1936”



C’est un des plus beaux sophismes d’aujourd’hui, régulièrement asséné par les médias de gauche, aux fins de rassurer. Il repose sur des fondements statistiques à peu près vrais. Tout simplement, la notion de “Français”, du fait des naturalisations massives (200.000 par an environ) et du droit du sol (automatisme de la nationalité en cas de naissance sur le territoire) perd peu à peu tout son sens. Jadis, la République, rejetant é,fidemment le critère racial, s’enorgueillissait que devinssent Français ceux qui, culturellement et linguistiquement, adoptaient avec soumission l’“intégration” dans la “communauté française”. Mais ce n’est plus le cas. Les nouveaux Français ne se sentent pas Français et ne se reconnaissent pas dans la culture européenne. Ils se sentent toujours solidaires de leur appartenance d’origine. La notion de “nationalité française”, privée de ses fondements ethno-culturels du fait même du cosmopolitisme républicain, ne veut plus dire grand-chose. Il y a de plus en plus de migrants allogènes, juridiquement Français, qui maîtrisent mal la fameuse langue nationale, bien plus mal que les étrangers francophones d’Afrique noire ou du Québec. La notion même de “Français” perd peu à peu de son sens. Toute définition de nationalité qui ne repose pas sur une base ethnique mais strictement juridique court au suicide, comme l’Empire romain en fit l’expérience. Cette notion de “nationalité juridique”, héritée des guerres européennes du XIXe siècle, ne devrait plus avoir cours en Europe. La notion d’“étranger” doit donc être revisitée.
Contre-slogan : Il y a dix fois plus d’allogènes non européens en France qu’en 1936, donc d’étrangers au sens ethnique.



Cliché n°9 : “Il existe un islam pacifique laïc modéré parfaitement capable de s’intégrer dans les valeurs de la République”



La méconnaissance profonde de l’islam et du Coran, comme l’inculture historique sont au fondement de ce préjugé, dont il est démontré l’inanité dans un chapitre précédent. L’islam est un bloc. Tout musulman “modéré” peut devenir, demain, un moudjahidin ou un ami des guerriers islamiques, comme on l’a parfaitement vu pendant la guerre d’Algérie. [A ce sujet, on peut consulter le site Coranix, qui analyse l'islam de manière méthodique.)
Contre-slogan : L'islam est une religion conquérante, intolérante, théocratique, par essence incompatible avec toutes les valeurs politiques européennes.



Cliché n°10 : “La violence à l'école est due à un mauvais environnement urbain, au manque de moyens et au paupérisme”


L'école des IIIe et IVe Républiques bénéficiait de 80% de moyens en moins, était parfaitement intégratrice et assurait l'ascension sociale des plus démunis et avait éradiqué l'illettrisme et l'ignorance, dès la fin du primaire. Aujourd'hui, avec des moyens considérables, l'Éducation nationale vacille sur ses bases. La transmission des connaissances et des règles sociales n'est plus assurée dans 50% des établissements, en 166
proie à l'anarchie et à la violence. Ce point est traité en détails dans un chapitre précédent.
Contre-slogan : La violence à l'école s'explique par le dogme pédagogiste et anti-autoritaire, mais surtout par une présence massive d'Afro-maghrébins majoritairement inassimilables.



Cliché n°11 : “Pour un Noir ou un Maghrébin il est beaucoup plus difficile de trouver un logement ou un emploi que pour un Français de souche”


Ce cliché dénonce la légendaire “discrimination” dont seraient victimes les Afro-maghrébins. Il est tout d'abord vrai que certains propriétaires rechignent à louer à des immigrés. La raison n'est pas raciale mais tient aux problèmes de voisinage que posent ces populations, comme aux difficultés de paiement souvent rencontrées. Le refus d'embauche tient la plupart du temps à l'absence de compétence des candidats. Calixte Beyala et son Collectif Égalités (qui n'a rien d'égalitaire puisqu'il vise à imposer par la force des quotas raciaux dans les embauches, notamment dans les médias audiovisuels) ne se sont jamais demandé pourquoi “il y a si peu de Noirs à la télévision”. Discrimination de la part des chaînes ? Certainement pas. Simplement, les candidats - c'est trop simple donc trop compliqué à comprendre pour un intellectuel - ne sont pas à la hauteur. L'association para-trotskiste Droit au Logement (DAL) prétend que la majorité des squatters et des expulsés de squats sont des familles africaines et maghrébines. Elle oublie de préciser que ces personnes sont des clandestins illégaux qui s'imposent, qu'ils sont rarement expulsés comme la loi le prévoit et qu'ils sont en général relogés, aidés, qu'ils bénéficient de la commisération officielle et finissent rarement en SDF comme les Français de souche dans la misère dont les politiques et les médias se moquent.
En réalité, les populations allogènes bénéficient de facilité d'accès aux logements sociaux, de privilèges d'embauche (notamment pour les “emplois-jeunes”), de privilèges d'aides et d'allocations multiples dont les Français de souche et les étrangers d'origine européenne sont exclus.
Contre-slogan : Pour un Noir ou un Maghrébin, il est plus facile d'accéder aux emplois, aux logements, aux allocations que pour un prolétaire d'origine européenne.

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