La Commission des affaires économiques de la Chambre des Lords vient de publier un rapport démontrant que l’immigration n’a pas bénéficié à l'économie du Royaume-Uni.
La presse française inféodée tente d’occulter le plus possible cette affaire et vous n'en entendrez que peu parlé.
Sachez ainsi qu'en Grande Bretagne comme en France l’immigration a explosé au cours des dernières années avec un solde migratoire de 300.000 personnes en 2006, alors qu'il était inférieur à 100.000 au début des années 1990.
Selon ce rapport parlementaire, cet afflux a entraîné une augmentation des coûts de l’immobilier, et des services de santé et d’éducation.
Par ailleurs, les immigrés peu qualifiés concurrencent leurs homologues britanniques et le bénéfice net de l’immigration s’avère donc proche de zéro sur le long terme.
En conséquence, les Lords recommandent de limiter, au moyen d’un quota, l’immigration extérieure à l’Union européenne.
Gordon Brown, Premier ministre Travailliste, a lui aussi annoncé des mesures qui seraient grandement condamnées en France par la HALDE ou autres.
Il fait ainsi l’éloge d’un système à points visant à écarter l’immigration extra européenne non qualifiée.
Il a évoqué la création d’un fonds citoyen auquel les immigrants devraient contribuer pour couvrir le coût des services public.
De quoi faire hurler les bonnes âmes !...
Enfin, il a décidé de renforcer les sanctions à l’égard des patrons qui emploient des immigrés illégaux.
Ouf !
L’étude de la Chambre des Lords éclaire aussi un méfait méconnu de l’immigration, celui de l’usure du patrimoine fonctionnel constitué.
En effet, souligne l’étude des Lords, l’immigration accélère l’usure du capital existant (les routes, les équipements scolaires ou hospitaliers, etc.). De plus, l’épargne des immigrés étant envoyée à leurs familles, ce capital ne peut ni se renouveler ni s’accroître en proportion de l’afflux des nouveaux consommateurs.
On assiste ainsi à une inadaptation progressive puis à la dégradation du capital constitué par le sacrifice consenti par les natifs et dont les immigrés profitent sans y avoir jamais participé (phénomène observable au quotidien) et à une diminution des revenus conduisant inexorablement vers des niveaux de vie de plus en plus bas.
Donc à une substitution d'utilisateurs suivie d'une paupérisation par nivellement par le bas.
Sur un plan plus général, le remplacement constaté de nos classes ouvrières n’est plus supportable.
7 avril 2008
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L'ON COMMENCE SEULEMENT A DEVOILER LES VRAIS EFFETS DE L'IMMIGRATION...
ET QUAND L'ON TOUCHE AU PORTEFEUILLE...CA FINIT TOUJOURS PAR BOUGER...
ET QUAND L'ON TOUCHE AU PORTEFEUILLE...CA FINIT TOUJOURS PAR BOUGER...