Le simple sentiment de danger vital pour un policier ou un gendarme doit l'autoriser à sortir son arme individuelle de son fourreau !
En cas de persistance de l'agression, il est licite de tirer deux coups en l'air
Le troisième étant, lui, légalement alors dirigé vers l'agresseur !
Une fois les notions de bon droit remises dans l'ordre naturel des choses et le représentant de la nation enfin autorisé à se défendre, alors pourra être mis en oeuvre l'impératif absolu qui s'impose à tout représentant de l'ordre
FORCE DOIT RESTER A LA LOI
Avec sanction du ou des fonctionnaires qui n'auraient pas respecté ce principe absolu alors qu'il leur a été redonné le droit de se défendre et, bien sûr, les moyens matériels nécessaires...